La liberté ne vaut que par

l'emploi qu’on en fait

Vol, XII

. Orga

Solution au problème

du

blé

JE faut développer notre surtout faire dispar

: Sparaître : transport par chemin de fe

marché domestique. I} faut! On dit üabituflement: “pas de! absurdité des taux de

Fr.

| Nous avons souligné, la semaine derniére, les difficultés que! rencontrent nos cultivateurs de l'Ouest à cause de l'abondance de la récolte et de la fermeture de plusieurs marchés due à la!

guerre.

Le plus pressant, à l’heure actuelle, c'est de donneï à nos

gens les moyens de vivre, les empêcher de crever.de faim, à l’ap-

ë ec"

ne officiel de l'Association Canadienne-Française

EDMONTON, ALBERTA MERCREDI, LE 28 AOÛT 1940

ï nm nnnnEnnnmnUunE | Pas de nouvelles!

nouvelles, bonnes nouvelles”, Ce n'est: "pas Île cas ici, quand nous parlons de: | Radio, Pas de nouvelles, cela veut : idire qu'en dépit des affirmations des lautorités de Radio-Canada, en dépit des promesses de certains politiciens !haut-placés, les gens de langue fran- | çaise qui vivent depuis ies Grands

ne

de La Alberta

Entre le monde et Dieu il ne

manque souvent qu’une

poignée d’apôtres

No 47

QUE LES BANQUES FASSENT DES AVANCES ENDOSSEES PAR LE GOUVERNEMENT

La consommation de nos grains fourragers en Colom- bié-Britannique et dans PEst. Pour obtenir des garanties libres de toute charge,

+

| | |

CES

! ï À Une centaine de représentants des 2. La nouvelle récolte est estimée : intérêts agricoles de l'Ouest ont as-| à peu près la même que l'année der- i Sisté à Ja conférence convoquée par | nière, environ 460 millions de minots

| |

: Lacs jusqu'au Rocheuses n’enten- le premier ministre Bracken pour é-! dont au moins 400 millions de mi-

L'ambassadeur américain en Belgique, M. John Cudahy, rappelé à Washington, en raison de déclarations jugées peu diplomatiques, rentre d'Europe à bord d'un Clipper à l'aéroport LaGuardia, avec sa femme, son fils Michael et sa fille Mary.

| dent aucune nouvelle en français à. | le, radio. | ; ! Pas de nouvelles. cela veut dire que’ ar ent ar te « Bruee . dr! aux cultivateurs et de garantir, ces a Gun ue Pen pe je bien; on ne demande pas de faire la charité dans le genre des bien peu e PR a He SECOurs directs que le gouvernement accorde aux chômeurs, | (Nous bre toi ii c ne mais seulement de payer à l’avance le blé qui sera livré plus tard.| bien voulu SDouvEr on je A

| Si, pour aider le cultivateur de l'Ouest, on attend des jours réclamations) | Mais les A + meilleurs et des plans qui n’aboutissent jamais, on les invite nilmasse? Ne Saparoiventeils Se

plus ni moins à abandonner leurs terres et à se mettre sur le] même chez-eux, on les dépouille sys- | E

£ecours, selon l'expression ES |tématiquement? ! La classe des célibataires d Une réorganisation de l’agriculture dans l’Oue Fe pie INREaNe tenacité, le dé-| | | | faire que de longue main. En attendant il est Re ea A ar : se a ed neue a de rare nan ï te . 1 À | 1 < , : ; 2. : On : - 3 s différents. Eee à on Pre Re Re ! À peut Baudoux; ‘a fait entendre chaque se- ces de guerre, a précisé qu'il y aurait, On Sr ns bientôt 1e règle- ARRAE cr A A Can nee ds qu à lire les 1 e- | maine dans : l'Est: la, voix de nos AS-; FEU. d'exemptions à l'entrainement | ments de l'appel ainsi ue’ les noms El ne ce de Winnipeg pUARSeS | sciations réclamant du français ,à.1]a. militaire ‘obligatoire de trente jourside ceux'qui feront païtie du person- et ce : Rs raqio. Les résultats: n'ont pas répondu décrétée par la loi de ia mobilisation! nel des trefze burcaü# (un jour cha- DAS EE rent rene dot ue He a. : (e) ons à ce pro-'à l'attente: Québec n'AR:pas- bougé: des .ressources nationales. «que district militaire) qui ne. tn ut Ann p gna fait que reprendre les sa- Pourtant, “nous continuons à eroir;, Maintenant que l'enregistrement | chargés de choisir des hommes dans ges Suggestions de l’un des nôtres, M. S.-J. Chagnon du Minis-!re gu’un.jour-ou l'autre, et au plus| national est terminé, dit-il, la pre-| certaines industries certaines mai- tère de l'Agriculture de Québec. On peut écouler beaucoup de! | un ‘céréales de FPOuest dans les autres provinces, pour l'élevage des animaux, ‘en même temps que les sous-produits serviraient à! l'engrais. Le Ministre de l'Agriculture en Nouvelle-Ecosse dé-| clarait, il y a à peine quelques jours, que les Provinces Mariti-

proche de l'hiver. Une suggestion en ce sens vient d’être faite

au Cours d'une réunion tenue à Winnipeg. On demande.au gou- vernement fédéral de faire avancer de l

L'ENTRAINEMENT OBLIGATOIRE

e 21 ans sera d’abord appelée

l'Est se meltront en marche”. ide faire une compilation de tous lesiun entranement militaire Spécial. N'allôns pas parler de “Laurentic, Célibataires âgés de 21 à 45 ans. |. Il est entendu que les cultivateurs, ‘de Province-Mère, de Berceau de la: Le Gépartement de la défense na-|les pêcheurs et les étudiants universi-

seront |

: tôt de :grâce, tous nos frères de | mière tâche de son département sera sons d’affaires pour leur faire subir!

tudier le problème de la récolte de : 1940. Cette conférence s’est tenue au ‘palais législatif les 15 et 16 août. i Environ le moitié des députés de Ja ! Chambré provinciale étaient 1à,ain- : Si que trois membres manitobains de j la Chambre des Communes: J. T. | Hhorson, député de. Selkirk: J. A. Ross, député de Souris, et Harry Leader, député de Portage-la-Prai- rie.

Les gouvernements de l'Alberta et de la Saskatchewan étaient repré- sentés par leurs ministres de l'agri- ! cultu J. G. Taggart. Il y avait aussi des

|

ratives et des marchande de grain.

Î SAR no à : :ont été résumés conne suit:

Sommaire des faits 1. Sur la capacité totale des éléva-

inots, la récolte de l’année dernière

re, l’hon. D. B. Muiïlen et l'hon.!

; ;

' ;

|teurs canadiens, 424 millions de mi-

nos auront besoin d'être emmuaygn- ! sinés,

3. À moins que les conditions ne {changent d’une façon inattendue au !moment de la. prochaine récolte, le | 30 juillet 1941, il n'y aura aucun es- Pace disponible à cette date pour ; une autre récolte.

! 4. Les marchés européens qui a- : vaient coutume d’absorber une gros- se partie de la récolte de POuest ; Sont ous disparus et resteront fer- ape au moins jusqu’à la fin de la | guerre.

5. La demande du marché britan-

nique, le seul qui nous reste, est délégués des unions municipales ct, d'environ 150 millions de minots par des organisations agricoles de cha-,an. Dans l’espace de quelques se- Cune des trois provinces, des coopé- | maines, le Canada aura dans ses é- : lévateurs de quoi fournir ce marché

Les faits Saillants de la situation, pendant trois ou quatre ans.

Comme la souligné M, Bracken, .Si cet état de choses est rassurant i pour l’Empire, il comporte en même Itemps la menace de la banqueroute i pour toute l'industrie agricole et la ‘ruine des cultivateurs."

mes pourraient absorber immédiatement 10 millions de bois-

seaux de céréales, par exemple de l’ donnait vraiment la peine de cherch on serait sûrement des plus étonnés % + #

Mais il faudra transporter nos produits de l'Ouest à 1 Et ici se dresse un obstacle: les taux de transport. On se rappel- le comment, par exemple, nos colons canadiens doivent payer! : le double des émigrés d'Europe pour venir dans l'Ouest, La mé- Plaisir de publier. me absurdité existe quand il s'agit de trans Rare

l'Ouest à l'Est.

Le “Devoir” écrivait récemment: “A en. coûte beaucoup plus cher, le double; peut-être le ‘triple, pour expédier un boisseau de grains de Winnipeg

orge pour engrais. Si on se! er des débouchés canadiens. :

Ù ! ! Est.

:

porter le grain de:

|

!

dans une campagne de l'Est de J'Ontario, de la Province de

Québec ou des Provinces Maritimes, que pour expédition du épart jusque dans un port de Grande-Bre-

même point de tagne.”$ ":

Devant de tels faits on aurait tort de critiquer les cultiva-

teurs de l'Ouest qui se plaignent et appellent au secours. Cha-

rité bien Grdonnée commence par soi-même: commencons servir les nôtres, au moins aussi-

Remettons ün peu de bon ordre dans nos affaires, Il faut de toute nécessité réviser les tarifs de transport, et faciliter à's nos cultivateurs la vente de leurs récoltes dans 1 faire disparaître le plus tôt possible cette absurdité nos cultivateurs payent plus cher pour

dans l'Est qu'en Eurbpe,

On pourrait aussi améliorer le transport par eau qui est

beaucoup plus économique. De la

1

6 Par,

bien que les étrangers.’

û 1

; î

"Est. 11 faut. qui fait que r expédier leurs grains]

tête des Grands Lacs jusqu'aux

U i t

Provinces Maritimes nous sommes merveilleusement desservis: !

profitons-en.

En somme la solution au problème du blé est encore assez

facile. Le pr

patronage et des intérêts mesquins par la politique du bon-sens.lreaucrates à Ottawa une bonne le- |

HIER ES

emier pas à faire est de remplacer la politique dUnous aurions pu donner aux bu-!

| P.-E. BRETON, OM

: CIS . +

| Dans le trou du “Goffeur”

e

Col

*. Ca

+

‘Le jour l'enregistrement, pru- sieurs ons répondu, qu'ils savaient “tirer les vaches”. | Te + Un bon nombre, sinon la plupart, aurait pu répondre qu’ils avaient plutôt l'habitude de “tirer le diable par la queue”.

M + * Quelques-uns cependant préfèrent “tirer des ficelles”. Y parait que ça .paye, ;

Û

* +

Mais c’est ben crapaud comme on a eu de la misère à avoir du fran- çais. Si ça avait été pour avoir no- tre vote, y en aurait ben trouvé des papiers français, et y nous auraient parlé en “canayen”. | _ “+ +

CE

jours les mêmes: c'est ceusse qui

font rien. |

| | |

+ + + Le monde irait bien mieux si cha- cun reStait dans son trou et se mê- lait de ses affaires. | LE GOFFEUR

ROOSEVELT VEUT LA CONSCRIPTION

WASHINGTON. Le président Roosevelt a déclaré qu'il était mr- sonnellement. et absolument opposé à remettre à l'an prochain l’entraine- ment militaire obligatoire.

Le président a dit aux journalistes que d'autres hommes devraient ap- prendre à se servir du matériel de guerre dont le pays dispose à l'heure actuelle. Fe

Remettre l'enregistrement des hom- mes à plus tard, dit-il, retarderait

|

On rapporte que dans certains Bu- | Sun an deux le programme de dé-

reaux d'enregistrement les gens ont parlementer pas mal fort pour se faire servir comme du monde. Cra- che-toi dans les mains, Baptiste, pis toque! 4 * +

-]1 serait bon de changer le mou- ton de la St-Jean Baptiste pour un bélier, -puisqu'il faut toquer à coeur d'année. .

LL. ess

I va falloir aussi se battre si on ne veut. pas voir nos cultivateurs crever. de faim, parce qu’ils ont eu Je malheur d’avoir une belle récolte. ds An * + * : [Ceusse qui eritiquent c'est

SI.

tou- Ibritannique,

fense des Etats-nUis.

M. Roosevelt a ajouté que le con- grès étudiait le projet depuis le 20 juin et qu'il en parlait encore. Si -la loi n'est pas adoptée d'ici une ou deux

semaines, dit-il, encore, il y aura un|

véritable retard dans le programme de défense.

nn ns EREREREE oo —_

LONDRES. Sir P.-A. Harris, .a mentionné le nom du premier minis-

tre Mackenzié King, à la Chambre |

.des Communes, quand il suggéra qu'un leader reconnu de l'opinion des Do- minions soit inclus dans le cabinet

Race”, si au moment oÿ les minorités tionale projette d’entrainer 300.000! taires ne feront pos leur entrainement ‘ont besoin d’un coup d'épaule, les ai- | hommes durant l'année, à commen-| durant la saison ou jes saisons propi-

!en occupe 270 millions et il ne reste:

‘rite. bien .une. mention honorable. ;

qu'un espace de 150 millions de mi. : inois pour la récolte de cette année. ; ques sur la garantie du grain em-

EST ARRIVE A EDMONTON : doit d’abord être adopté par le gou-

| vernement fédéral. {Le plan proposé demande une ga-

Le nouvel évêque; qui a/passé 20 ans dans l’Arctique, . Sera consacré à S -Aïbert le 8 septembre qui; pouvaient bien remonter à! |

Prêts des banques

La conférence a approuvé à l'una- nimité un projet de prêts des ban-

nés se défilent ou s’endorment dans! cer par les célibataires de 21 ans. ces à leurs occupations habituelles. la nonchalance

- Billet du Nouvelliste

| + +

“IL a gagné ses épaulettes”

Nous avons reçu cette semaine la: lettre suivante que nous nous faisons

Objets perdus

|

cr , ss Er DPIES

C'était un mari bien soumis qui. n'avait pas été heureux:de- puis le. jour de ses fiançailles

oi ride

Monsieur'-Je Rédacteur Un petit comrititäire ‘à propos

de votre article “Ar duitlà faute”,

‘rantic du Dominion des avancès des

‘banques et laisse aux autorités fé-

. dérales le soin de fixer ‘le: montant

dans le jouénal ‘de Ta”éemtné {der A M A a nière, 1. SE et a CD de de

ne Ù | é nommé par le Alber Rae

Voici un:fait qui, à mon avis mé- noubHApIE JOurReS et” par io ière évé jliai Cette ji t éré i ‘d' hiffre plus élevé is suite, la douce et tendre Sylvie! St-Siège évêque auxiliaire du Mac-| Cette imposante cérémonie sera, d'autres un chiffre plus élevé, mais d'avant la grande. démande s'é-!kenzie, est arrivé samedi dernier à|Présidée par SE. Monseigneur Brey-; la, résoution .adoptée n’en mention-

Te

ï

J'étais. assistante, régistraire à. 2...

N de à Î + & | Re s itait petit à petit muée, avec u-| Edmonton. 11 était accompagné du R.|nAt, archevêque de Garella. Nous: ne aucun. ‘et ayant averti bien à l'avance notre: à é i Smith! pr i É , ayant : bi : : en IP. À. Laffont, O.MI, de Fort Smith AOnnerons dans un prochain numéro ge député régistrairé d’obtenir des car-| RYPOCrisie bien féminine, en! e Fort Smi op De Recommandations

‘Îles détails du sacre. |

let du.R.P. J. Serrurot, O.MI.

ANT + : une sévère et impitoyable _. tes et des certificats d'enregistre- po ce Le nouvei évêque est originaire del

ir ù A EE +

ment en français j’en eus en nombre Peene dont intransigeance suffisant” - | in’admettait aucune discussion, suffisant, !

‘aucun .compromis. .

| Dès ce jour elle avait exigé de son fiancé, une rupture officiel- le:en bonne et due forme, avec jtous ses amis sans exception et javec toutes ses habitudes. Le mariage conclu, l’assujettisse- qu'eux aussi puissent s'inscrire en: MENt Au pauvre bougre aux Ca-

Nous offrons de nouveau à S. E. . Voici les recommandations prin- |Lozere, au diocèse de Mende, enl Monseigneur Trocellier nos homma-: cipales qui ont été adoptées:

\ France, il naquit en 1888. Au cours ges les plus respectueux à l'occasion:. ‘1 Que des avances de banque. en- 2 de la Grande Guerre de 1914, il était| de son élévation à 1a dignité épisco-, dôssées nar le Dominion, soient fal- sergent d'infanterie dans l’armée: i1| pale. 1188 id HN ere au RENE avait interrompre ses études pour; NB.—On nous prie d'annoncer que, | FRE eur le Pen ne ral répondre à l'appel. Pendant trois ansi pour la cérémonie du sacre, tous les’ Son d-hennatite "0e cha MINèlS par: (il demeura prisofñnier en Allemagne. | sièges de l'église de St-Albert seront: Que le gouvernement fédéral | Après la guerre, ayant complété ses: rèservés. Ceux qui veulent y se rage LL une large publicité

‘études en France et en Italie, il était ; pourront dès maintenant faire leu : Éranétis El Jus pensé que oi tous : Prices de’ sa chérie, n'a fait | Sevé à la dignité du sacerdoce (1920) j réservatior, en s'adressant à M. J.

pi autrement, la consommation des os Cañadienc tnieaie de Geo ‘qu'augmenter. Son titre de rei- Ses supérieurs l’envoyèrent dans les} Chatain, 10518, avenue Jasper. Télé- S a s-français.de l’ouest a- É À | pee HU PCA 5 VAE Si l'exetale de patriote 16 du foyer lui donnait tous les! missions du Mackenzie; c'est principa-! phone: 25914,

grains fourragers de l'Ouest en Co- ! äroits, même celui de faire main lement au milieu des tribus esquimau- 3 " A = basse, sur les revenus de son des qu'il dépensa les 20 années de sa ? É : « A 2 vie missionnaire. A son arrivée dans

| ÿouer que des Canadiens-français | la générosité jusqu'à lui remet-|le A ; ï inseri tre à ch jour dix so (e) | ; (des exceptions) se sont inscrits en} 7e & © Fo Fe A bn De rendait. au Fort des anglais (même à côté de moi) et} SOn tabac: | 2 aride este du occardusant que que sur mon invitation de s'inscrire, Piteux et muet, l'époux lais- Das ge L His M pes se | en français un quelqu'un a haussé| Sait S’égrener les jours, avec le|t"€ 25. #7 A

mens et les épaules et répondu “Ca ne fait} Seul souci de ne pas déplaire à AAA CORAN IOEQU de: ONRSE 8

! MOSCOU. Le journal du gou-lil na pourvu au développement du de différence”, AI répètel Sa tendré moitié, tant il crai-:r'ésidence d'Akiavik. Puis il dessert vernement soviétique, l“‘Izvestia”, a} commerce entre l'U.RS.S. et l’Alle-

Le por rene M ES 44 ei nait ses aplétes EL ses boude- | successivement les importantes mis-: dit que la Russie aide à l'Allemagne a| magne. Ce commerce doit.surpasser

de ee pau eee pese Fe dentant âté sions de Coppermine, théâtre du mar-!contrecarrer les effets du blacus an-|en volume le commerce germano-russe

signaler Faction de M. Honoré Mae A chaque quand il reve lire de deux oblats, et Letty Harbour, |glais, en lui fournissant tout le ma-|âe toute année depuis la dernière

pren 1e Nes Sarepte Rs a nait La nid de consultait s'élève une superbe grotte de Lour-| tériel brut possible et en retour, elle{ grande guerre.”

di D bien cane-Mention hong l'horloge et ses : yeux se char: | es. | recoit de l'ANemagne des produits ma-| “Comme premier résultat de cet ac-

geaient de reproches si l'aiguille! Comme nous l'avons déjà annoncé, nufacturés et même des armements. cord, l'Allemagne reçoit du matériel

Mercredi après-midi j’eus le plai- r de voir arriver pour s'inscrire en français un M. Honoré. Magnan, de New Särepta, Alberta. Ce monsieur était venu de trente-cinq mille pour s'inscrire en français, plus tard il avec sa femme et son fils pour

s

(Suite à la page 8)

Î

|

MOSCOU ET BERLIN SONT DE

çon! Mais hélas je dois aussi a-j homme, Pour qui elle poussait

ral 1

Sincèrement à vous,

ais

oscillait tant soit peu au-delä|le sacre de Monseigneur Trocellier EE

de l'heure réglementaire. Osait-|

il une excuse, une protestation.

que le regard de sa douce fem-: me s’embruait, prêt à verser des torrents de larmes, ce qui avait pour résultat de remuer jus- qu'au tréfonds, l'âme de ce pu-, sillanime.

(Suite à la 8e page) CS

Cette lettre illustre de façon par- faite le contraste entre un homme qui ne veut pas courber l'échine et un | partisan de la politique du laisser- | faire.

| Nous tenons à offrir nos félicita- tions à tous ceux qui, comme M. Ma- gnan, ont eu la fierté de leurs con- victions. P.-E. B.

L’INSCRIPTION NATIC- NALE COUTE PLUS D’UN MILLION

eusesct

L'enregistrement nationai qui vient i de terminer a coûté au pays aux 2- ‘lentours de $1.000,006 contrairement jaux dernières élections fédérales qui

!

| En faisant une revue des relations des deux pays depuis la signature du pacte de non-agression, du 24 août 1939, le journal prétend que ce traité

est le facteur le plus important pour la paix et que le traité commercia] entre les deux nations est le plus grand depuis la dernière guerre. Tout en discutant le traité de com- merce, signé le 21 août 1939, l'‘“‘Izves-

dans la période présente à cause du blocus organisé par l’Angleterre”. “De son côté, ’Alemagne fournit à la Russie des produits industriels comprenant des armements, qui sont

lassez importants devant ja situation

internationale tendue.”

Le journal ajoute que le pacte de non-agression “a démontré uhñe fer- meté inébranlable en dépit des ef-

tia”’ a dit: ‘‘Afin de bien comprendre,

l'avaient exigé un déboursé de 53,000. | {4e 13 portée de cet accord commer-

forts des ennemis de l'union soviéti- que qui jusqu'à date ont essayé de se-

000 au Trésor public. Voilà ce qu'a di

: cial il suffit de rappeler que durent | mer le désaccord et la méfiance chez

le juge T.-C. Davis, sous-ministre des |, Lemière année de son existence, |les autorités des deux pays”. service de guerre. :

AVIS

Toutes les personnes qui désirent ‘assister à la cérémonie du sacre de S.E. Mgr Trocellier, en l’église de St-Albert, le 8 septembre pro- chain, sont priées de ré- server leurs sièges à l'avance, en s’adressant à M. J. Chatain, 10518 Avenüe Jasper. | Téléphone: 25914.

L'AMBASSADEUR TAYLOR POR- “TEUR D'UN MESSAGE DU. PAPE , A ROOSEVELT

CITE DU VATICAN. M. Myron-C. Taylor, ambassadeur personnel ‘âu président Roosevelt auprès du Vatican, a eu un! dernier entretieñ avec le Souverain Pontife, mercredi dernier,| avant de se mettre en route vers les Etats-Unis. L’audience a, duré une heure et 10 minutes, soit l’une des plus longues au- diences qu'il ait accordées ces temps derniers. On croit com- prendre que le Pape a confié un message spécial au président Roosevelt, en plus de ses meilleurs voeux. | ." 4

M. Taylor et Mme sont partis de Rome en avion pour Lis- bonne vendredi d’où ils s’envoleront pour New-York. M. Taylor! se:rend- aux Etats-Unis: pour consulation avec M. Ioosevelt et: |pour repos . | Le dE | OURS #4

, Le nouvel évêque de St. Augustine, en Floride, S. E Mgr Hurley, dépuis six ans membre du secrétariat d'Etat au Vatican. | accompagnait M. Taylor à sa visite chez le Souverain Pont:

»

| RADIO-OUEST FRANÇAISE

EMISSIONS DE RADIO-CANADA, À CBK, WATROUS, 540 kil. | |

A

LE MARDI. de 1 h. 45 à 2 h. TOUS POUR LA VICTOIRE, discours sur es buts et la poursuite de la guerre par orateurs éminents.

LE MERCREDI, de 1 h. 45 à 2 h. LOUIS FRANCOEUR, commentaires sur les éénements du jour, par Louis Fran- coeur, chroniqueur de LA PATRIE,

LE VENDREDI... de 1 h. 45 à 2 h. UN HOMME ET SON PECHE radio-roman par le Dr Claude-Henri Grignon, romancier canadien-français. | -

POSTE CFGP, GRANDE PRAIRIE; 1300 kilocycles TOUS LES DIMANCHES, de 1 h: à 1 h. 45 P.M. Programme

français sous patronage -qûu Comité Régional de l'A.C.F.A; de la Rivière-la-Paix,

des

a st Eds en ee D EU Sr CS

La Survie

urvivance

Le Champ de

Honorons en ce champ de blé Les vertus de la bonne terre Dont les épis se sont gonflés! Ïl est, dans sa splendeur austère,

BA a Plus beau que les jardins en fleur, . Plus beau que les prés remplis d’ herbe, EC aue les bois lourds de senteurs; c La mer et toute sa superbe

. Doit s’humilier devant lui: Élle n’a que des flots stériles It des vagues grosses de bruit, Mais la multitude fetrile Pres : - Des épis frôlés par le vent Chante, pour loreille humaïne, | Ün cantique plus émovant mo sa chanson farouche et vaine,

|

LA mer, Dieu Pa faite sans nous, Mais pour: que le sillon prospère Sous la grâce des épis roux, L'aide de l’homme est nécessaire.

Louis MERCIER.

e génie de la France

Par Mgr Beaudrllart

Et c'est ici, Messieurs, le moment de-rendre hommage au: rôle de li femme dans la famille, dans la société, dans la civili-

sation, dans l'intellectualité françaises, dont je m'efforce de |

vous montrer les plus intimes ressorts.

La lemme, a-t-on dit, élève Y’enfant et achève l’homme: | pour quel peurle du monde est-ce plus vrai que pour le peuple français?

À sa mère, l’homme doit ses plus pures tendances, sa: dé- licatesse morale, sa foi religieuse; à sa femme, il doit en général! de les conserver ou de les retrouver. Ah! je le sais, au Nouveau- Monde, on sourit parfois de ces mères françaises qui couvent, leurs enfants, qui tremblent de les laisser partir et regardent, volontiers-comme des êtres dénaturés ceux qui révent à de loin- fains- voyages, à d’audacieuses entreprises

-Oui, mais vienne la guerre, et combien de fois a- -t-elle fon- du sur notre pays si exposé, si convoité! cette femme d'intérieur, cette femme si tendre, fait voir de quelle force d'âme elle est douée. Mère de Duguesclin, mère de Jeanne d’Arc, mère de Bayard; mères de nos soldats de 1914, avez-vous tenté de rete-|n nir vos fils, épouses d’rrêter l'élan de vos maris? Qui de vous ne les a: encouragés, soutenus, par les mots sublimes, par les

gaffinements d’un coeur aimant et fort dont vos lettres étaient pleines et que maffaiblissaient pas vos ‘au revoir” ou vos ‘“a- dieu” trempés de larmes.

Dignes héritières.des Clotilde, des Blanche de Castille, des anne de Bretagne, vous, n'avez bas craint d'assumer le travail tte l'homme. Quand le désarroi général vous a montré le péril de- la religion et de la société, vous avez osé sortir de votre foyer qui ne fut jamais un gynécée, vous montrer au dehors, vous liguer, parler, agir, sans cesser pour autant de prier.

AiñSt Vous régnez sur les moeurs et, par les moeurs, sur les lettres éïlées-mêmes; ceux qui tiennent une’ plume, —tels les ch-

valiers de jadis leur épée,—tournent vers vous leur rgard inté- riur: que ne vous doivent. l’âme française ‘et la littérature qui! lexprimie? Un écrivain qui a consacré tout u nvolume à l'Ame ‘ie la Frünve n'a pas hésité à donner ce titre à son premier Cha- pitre: ‘La: France est féminine. Des nations rivales luiaccolent volontiers la même épithète: ironie discrète, blâme déguisé? Acceptétis-la comme un éloge, puisque j'ai montré que la femme vommufñique à l’homme sa délicatesse et qu’elle même emprun- te à Phomme:son courage.

Je m'en voudrais, Messieurs, dans ce raccourci de l’huma- nité française, de ne pas donner sa place à notre frère l’ouvrier. Place moins large assurément dans notre histoire que celle du! paysan, du noble et du bourgeois; la grande industrie est née] | d'hier, un siècle d'existence et quel siècle, combien hostile non: seulement, à la persistance, mais à l’établissement même d'une tradition! Beaux quartiers de noblesse pourtant ceux de l’ou- vrier francais, si je regarde le passé. Le voyez-vous, membre de l'antique corporation et d esa confrérie, soucieux de ne livrer au’un travail achevé, le tour de main décèle un génie natu- vel, la perfection du détail proclame le scrupule de la côüns- “ionce professionnelle. Que de chefs-d’oeuvre sont sortis. de ses doigts artistes et laborieux. Ceux qui subsistent sont l’ornement toujours jeune de notre vieux pays; le monde nous les envie.

Jet esprit d'autrefois est-il mort? Non, Messieurs, mais en ces! heures de perfides surexcitations et de captieux sophismes, il! sommeille trop souvent. Et cependant, quelle générosité, quelle

ae

Aiguise l’' Appétit Redonne l'Energie et Aide la Digestion COMMANDEZ

UNE CAISSE AUJOURD'HUI

,

Cette ariñonce n'est pds insérée, perle Bureau de: Contrôle deÿ Haueurs

f ! de l'Alberta ni par le gouvernement de 1a province de l'Alberta. .

|civilisätion.

‘vaillant de la dérnière guerre: pour lui, la comparaison s’imiposé

L'Habitude lesservir des fruits 2 vee la viande se répand de plus en plus.

La’ Section: dés” consommateurs: du Service des marchés, au Ministère fédéral de l'Agriculture, recomman- de les recettes éprouvées que voici:

Condiment à la rhubarbe 12 tiges de’ rhubarbe 1 botte de céleri :

4 gros'oignons

4 tässes Sucre brun

1 piment rouge doux.

2 taises de vinaigre’

10 clous de girofle et 1 bâton del

carelle: dans un sac

1 cuil. à thé d'épices mA

à cornieHonis)

k |

JACQUÉS

drait le. directeur de La Coinédie- Française dont lx réouverture: au-

| lieu bientôt, dit. une ar

de oué ;

|

charité subsistent ‘däis 1e coeur “dé ouvrier ERA 1e ju geons pas encore;-il-n'est pas complètement: évôlué:- Qu'il éthäb- pe aux mauvais bergérs; qu'entré nous et: Jui-S’échange le baiser que l’u nd’eux, les yeux pleins de läries, mit naguëreé‘ sur ‘la juue d’Albert de ‘Mun; et la France rouvelle aura ajôuté- un élé- ment de plus au trésôr de forces, d'idées et de sentiments qu ’el- le a reçu la vieille France, votre mère et le-nôtre. : M'exposerai-je, Messieurs, à je he sais quelle-accusation: de! militarisme, ou d'impérialisme, si maintenant je vous déclare 'aue, sans le soldat français, l'âme française ne se serait jamais épanouie et donc ne se serait jamais répandue au dehors? C'est pourtant une vérité d'expérience et de bôn sens: complètement ouverte au nordét au norü-ést, exposée par même au flot tou- jours renouvelé des plüs dangereuses invasions, la France est et doit être une nation militaire, cela sous peine de mért. Si elle n'eût été militaire, depuis longtemps elle ne serait plus, et vous-

mêmes vous ne seriez pas.

Quel beau soldat que le soldat français! En-lui, on s’est plu a! retrouver quelque chose des: trois principaux ancêtres de notre | race, le Gaulois, le Romain, le Franc.

Le Gaulois, être de premier élan, qui veut combattre à dé-| couvert et ne craint rien, sinon que le ciel lui tombe sur la tête,! brave, mais imprudent et téméraire, le soldat de Crécy, de Poi-! tiers, d’Azincourt, de Morhange et de Virton.

Le Romain, brave aussi, mais discipliné, solide, encadré, te-| nace, expert dans l'art des tranchées et des réduits fortifiés, soldat de notre Turenne et de notre Pétain. |

Le France, brave comme le Gaulois-et comme le Romain, a dèle à ses chefs et les aimant, rais murmurant et grognant vo- lontiers, le soldat du vase de Soissons, en face de Clovis. Il lui plait de combattre pour unë bélle cause, pour une idéé noble. | C’est le même Clovis: qui, au récit de Passion, s’écriera: “Que

n'étais- je avec mes Francs!”

Que ces trois types de soldats se fondent en un seul, ne sera-| ce pas le soldat idéal? Le soldät la croisade, heureux de com | battre pour le tombeau du Christ, de Godefraid de Boüillon à: saint Louis, presqué tous les chefs et les deux tiers des combat- | tants seront nés sur le vieux sol gaulois. soldat de Jearine| “Arc, fidèle à la cause nationale, qui tutoie Jéanne, filé du peuple comme lui, et la respecte infiniment, soidat d’offensive qui la suit à la charge.et à l'assaut, soldät cäpable de patience: “Nous les aurons quand ils seraient pérnidüs aux nues”, avait dit: J éanrie, et on les eût; soldat humairi, autant: que’ lé: guërre peut}. être humaine, qui pardonne à l'enñerii vairicu et le soigne au besoin. |

Päraissez soldats des guerres. d'Italie, avec Bayard et Mon- luc, soldats d'Henri IV, ralliés autour son. Hlanc panaäche, sol- dats de Louis XIII et de Louis XIV: qui firént la. France si grati-

lipe, les La Liberté, et les autres dui prireñt racine sur vôtre terre arrosée léur sang, ces sous-officiers, ces sergeïts, qui furent les cadres solides de l'armée 'nouvélile, de: l'amalgarne fait des volontaires de 92 et de la vieille arméé royälé. Il s'éprireñt; de la liberté, de la nation. la révolution, comme leurs pèrés | s'étaient épris de la croisade, et c'est à leurs idées’ qu'ils préten- dirent ânnexeï l'Europe. Ainsi que les soldats: de Roricevaux mouraient joyeux pour l'emipereur à la bärbe fleurie, lés gro- gnards de Napoléon reculèrent les bornes de fidélité au chef, l devenu pour eux comme un être quasi divin. Et ce fut la grande armée, l’armée des soldats invinciblés, ui peéü trop pilläräs, un peu trop galants, mais si durs à eux-méines et si Hurnains en- core!

Si haüt étaient-ils montés qu’aprës eux, pénsäient- ils, quatid l'aigle éut brisé ses ailes, il n’y aurait plus de soldats; et l'on vit| les soldats de nos gueïres d’Afriqué, lés soldats de Crimée, les! soldats d'Italie, les soldats de Réichshoffeën, lés'süldats: du Séré-| gal, et du Soudan, l’Ido- Chiné et MANRERSCE, DOTEUTS de;

|

Le moride croyait la Fränce épuisée, décadente, prêté à plier les gerioux devant celle qui l’évait vaincue en 1870; l'AHeïfia- igne l'attaqua; tous ses fils validées lévèrént à: l'appel du tocsini et voici que, dans nôë “poilus”, réparurent, plus uïiies, plus fon-

dues que jamais, les vertus militairés du- Gaulois, du‘Rorain'et| du Fränc, bräves jusqu’à la témérité, tenaces: dans: la-trdnchée, d | fidèlés à des chefs aimés, les Joffre, les’ Pétain; les Foch, aiguil-|

lonnés, non seulémefñit par l’amOur de la patrie et: l'iipérieuse nécessité de la défendre, mais Pàr la: pensée que leur case: était, | celle de la justice et la paix future.

Ecoutez le plus récent éditeur duü‘procès de Jearine d’Arce, un

entre les soldats de Jeanne et ceux de 1914: “Qui rious à soute: nus, s’écrie-t-il, alors qu’enterrés vivants, nous ne voÿions" plus des’arbres que les racines, et du ciel qu’un rübän au dessus de nos têtes; quarid nous luttions contre l'eau et-le froid, autant ét

plus que contre un‘ennerñi invisible; qui nous‘a fait: auboortel|

la veille, l'immobilité, la terreur de la: nuit et: de la mitraille; qui a réalisé la fraternité des pauvres et des: riches, inspiré le patience au paysan supputant teïñps des récoltes qu’il n’a pas vu: lever; qui'a' fait des révoltés des gens soumis, des initelléc-| tuels des hommies rudes; si ce n’est ce mêmié esprit de la race, | le sentiment de la juste cause, l'espérance de fonder la paix du monde entre les hommes de bonne volonté?”

J'aurais toït d’insister davantage; ces soldats, vous les a-

vez vus; vous avez combattu: à leurs côtés; vous leur étiez sem-\|# :

blables; le même säng coùlait dans vos veines, le même esprit de la race animait votre courage. Ypres, Saäint- Juliën, Baïer- tin, Courcelette, Contalmaison, Vimy, redites lés prodiges de! valeur: dont voüs fûtes témoins! Pour vous rendre Phofimage! que la France: vous doit, nous reprendrons l'éloquente” parolé! d'ün de vos évêques: “Les Canadiens ont fait grand le nom leur patrie et grand le nom qu'ils: portaient. Ils se sont immor-

talisés: qe l’histoire et le Canada a été immortäalisé avec- eux”.

S suivre)

miss +, ,

RUSHVILÉE, Inid, À la foule qui l'a' acclâmé üci au parc City Memio- rial, Wendelle L. Wilkie, candidat ré- publicain à la présidence des’ Etats- : Unis, à déclaré qu'il ést prêt à fä&iré

n'importe - quél “sacrifice pérsonriel” pour tenir ‘1és Etats: Unis: en'dehoïs de la’ guerre et pour “préserver de tous les dangers le genre de vie que: nous avons ici.”

“HYDE-PARK, N.-Ÿ. Au cours de l'interview qu ‘il a accordée aux: jour- nalistes, le président Roosevelt a été assailli de questions relativement aux! relations -anglo-américaines ete aux! négociations pour l& défense di Ca- nada et des Etats-Unis. Mais il a je- té’ de l’eau froide sur cériaR es “nou- vents”, ;

de: +

MARINADES AUX FRÛTTS

piment et les oignons. de sel. Reccuvreé et laissez reposer: toute la ment. Ajoutez les dients. Faites cuire lentement jus- ; qu’à ép verres stérilisés. Bouchez tandis que: c'est encore chaud.

|

de; soldats de “Louis XV et de Loùis XVI, les Läfleur, les La Tu-|

*

se.

5

ro le ‘sucre, le vinaigre et ee Hess pendant cmd minutes. ie-! !froidissez ‘et égouttez. Ajoutez le: : gadellés. -Rentettez an feu. Faites cuire pendant quinze minttes. Ver-| sez dans des bocaux stérilisés. Bot |

T8: cùil, à soupe de sél | ‘Hachez la rhubarbe, le céleri, le Saupoudrez |

nuit, Egouttez autres

parfuite-! ingré: |

+ # *%

Cantaloupes marinés

Choissez des molons fermes eb pas. tout à fait murs. Pelez, coupez en. | quartiers . et eulovez Îles graines. | Coupez en dé: d’un pouce. Saupet- \drez de sel et laissez reposer toute Îja nuit. Jgouttez. Mesurez. Servez-, | vous des proportions suivantes: sil | 8 Lasses de melon coupé en dés: | | |

aississement. Versez dans des |

Æ k % . Condiment aux groseilles 2 tasses de groseilles : 14 tasse d’eau tasse de vinaigre tasse de sucre: : % cuil, à thé de cannelle # cuil. à thé de clous de girofle | Lavez en enlevez les tiges et le calice des grosoilles. Ajoutez les au- a trs ingrédients. Faites cuire jusqu’à Liez les épices dans un st. Faites ce que ce soit épais et clair. Versez; cuire pendant quinze minutes, Otez dans des verres stérilisés, Bouchez {les épices. Faites cuire cinq minutes. tandis que c’est encore chaud. CRE |

1 Lasse de vinaigre ;

1 euil. à soupe racine de gin- gembre hroyée

> bâtons de cannelle

1 cuil. à thé de clous. de pirofle: l i {l

| Tassez dans des bucaux stérilisés. _Bouchez tandis que cest encore |

Gadelles rouges épicées ; chaud.

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f 4 tasses de sucre . pommes, Î 5 pêches, 5 5 prunes, à poi-! 1 tasse de vinaigre res, 5 tomates, 5 tasses du sucre, si 1% cuil, à thé d'épices à coini- ; tasses de vinaigre, 1 cuil à soupe: chons ide sel, 2 cuil. à suupe de gingembre: 14 cuil. à thé de canelle icunfit, 2 bâtons” de cannelle. 14 cuil. à thé de clous de girofle Faites cuire tous les ingrédients; 1 cuil, à soupe de gingembre ; ensemble jusqu'à ce qu'ils soient é-i confit haché pais, levez la cannelle, Versez dans: Œqueutéz les gadelles avant dei des bocaux stérilisés, Bouchez tan-: mesurer. Faites un sirop en faisant! dis que c’esl encore chaud

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RADIO-OUEST KRANCAISE

POURQUOI NOUS NE. : DEMORDR | FORD RONS PAS TT AU LAC ST-JEAN , Lorsque le 14 août, à 1 h.45 de l'après-midi, CBK passait: son émission hebdomadaire “TOUS POUR LA VICTOIRE (sur: CHICOUTIMI —La belle et pitto.

disque), il y eut des Canadiens français de l'Ouest qui se sur-!"sque région du Lae-St-Jean a re- prirent à jongler. çu avec une foi bien profonde et une

Le sujet n’en était point cause. L'occasion, pas davantage. Piété toute filiale le très digne re- Encore qu'il n’échappa à personne que cette émission par disque P'ése"tant de SS,. Pie XII qui a tanz

S. E. MGR I ANTONIUT-

datait plus encore que ses devancières. Car l'objet immédiat des |'#it déjà pour les catholiques du Ca- deux beaux discours qui la composaient était de justifier, aupres "202 Mer le Délégué a été parti- ‘des Canadiens français, la loi de mobilisation générale, Or, d'a- ‘Ulièrement touchée de la grande près le texte, cette loi venait d'être décrétée hier au Parlement. Piété de la population du Lac St. Cela était vrai sans doute lorsque les discours en question furent, 0% Aui a conservé bien vivantes prononcés aux postes du secteur français. Ce ne l'était plus rue traditions catholiques et natio- 14 août, presque deux mois après. C’est un des inconvénients! "21.5 de nos pères

certaines émissions par äisques. Inconvénient d’engendrer , à la fatirue, ni une pluie bat- auelque humiliation et irritation chez les auditeurs de l'Ouest, L#"t® Par moments n'ont ralenti Aumiliation du “quêteux” qui a le sentiment qu'on ne lui veut silent tout apostolique de Son Ex- servir que du réchauffé. Irritalion du parent pauvre qu’on met'<llene qui a adressé la parole 18 à une autre table... , fois en une seule journée.

Ce qui à fait ‘“jongler” certains Canadiens français des prai-: Les populations heureuses de voir ries, c'est une Phrase de chacun des discours prononcés respecti-: d'entendre J'illustre représentant vemené par M. Joseph MICHAUD, ministre des pêcheries, ct par! du Papa, ont éprouvé aussi une joie

: M. le Sénateur C.-P. BEAUBIEN. bien profonde de recevoir pour la % % æ première fois la visite de leur Eve-

Au cours de son éloduent plaidoyer pour la défense de notre: Piem-aimé, Monseigneur Mclan- propre pays, le porte-parole des Acadiens martela: “L'histoire: (e de ue bis nous apprend que jes peuries qui ont lutié sont les peuples quil." | ont fini par triompher.” ° cie, ;

Monsieur le ministre ne nous en voudra certainement SN RS LL BE, de “jongler” instinctivement sur cette phrase. Ii sait combien fais. . _ : ne Penn F la loi de l’histoire générale qu’il a rappelée s'applique aux peu-; sue Ra RAS least ples minoritaires aussi bien qu'aux nations politiquement, CONS- ne _ D AO tituées. IL sait ce que l’Acadie martyrt doit à sa volonté de ut pee SF Pass OM Le ter envers et malgré tout. ifesseur au Séminaire universitaire

En ‘“jonglant”,

2 À , NA PTT ART ee donc, sur cette Phrase, comment, nous ue SE 2 ds nous serions-nous pas appliqués cette loi de P'RISLOITE! journal diocésai, le “Progrès du ; Nous savons que le neu que nous possédons, dans tous He : | Gcmaines, nous le devons à 14 lutte que nous avons menée. Pas _ ; à cellé d'aujourd'hui seulement. Mais à celle d'abord que les plus. DES PARENTS DECO- anciens d’entre nous, les Manitobains, ont menée avec acharne-| RES PAR LE PAPE ment sur les rives de la Rivière-Rouge. Puis à celle qui s’est pour-| He : suivie dans les trois provinces avant, au moment et en consé-' Notre Saint-Père le Pape Pic XII quence de la formation de celles-ci. Enfin, à celle qui se mène'jent neo der la Te _— sur tous les front aujourd’hui. Ecclesia de Pontifice” e Li Le NOUVELLISTE et nous l'en remercions a bien vVOu- JEolise et le oPntife”) à M. et . lu tout récemment rappeler cêtte loi de notre courte histoire joseph Nravnara de St-Joseph de St- en écrivant de nous: “lis ont l'habitude de lutter: c’est dans le rvacinthe. P. Québec. sang chez eux.” i Cette bellc famille canadienne- Le NOUVELLISTE écrivait gentillement cela au sujet de la: française de douze enfants en comp- | campagne aue nous menons actuellement dans le domaine deite sept consacrés à Dicu dns mutant ja RARE Ë : ; de congrégations religieuses différen-| . Bemain, quand nos journaux diront les lettres et les télé-|tes, à savoir: Sr St-Omcer.. des SS. del grammes qu’il nous à fallu envoyer à Ottawa pour en recevoir | | quelques cartes et certificats bilingues en vue de l'inscription'a @éjà passé vingt-cinq ans comme nationale, on constatera une fois de plus que la Raüio-Etat m'est. missionnaire des Cris dans l'Ouest

gué, et du représentant du

FU

t

—N

ARMEE DE 1:200,000 AUX.

M Le pro. | George C. Marshall a dit que les!

PORSRRS devront se Jimiter pour: Mgr : : {1.200.000 hommes bien que des for-:

Saint-Joseph de St-Hyacinthe, qui à:

OUVELLES BREVES

Grises de ta Croix; Sr Gertrude, des père de la reine Elisabeth dans des SS. des &S. NN. de Jésus et de Marie. | entreprises bancaires a été démis à

C’est en’ récompense de ce service signalé rendu à l'Eglise que le Sou- verain Pontife a daigné octroyer aux heureux bénéficiaires, cette décora- tion aussi insigne que rare.

mouvement nazi. Son renvoi remon- te à quelque temps, mais la nouvelle n'en a été connue que ces jours-ci.

à la famille royale, sa soeur ayant

IPE

TAIN ET LA LEGICN D'HONNEUR

BERLIN La radio allemande rapportait le texte d’une dépêche üe! Vichy en vertu de Jaquelle le eou. |vernement Pétain aurait décidé de. : faire disparaître des listes de la L£. ! jgion d'honneur les noms de piu-j LONDRES On confirme au lsieurs étrangers. i Forcign Office les rapports «lisant ! “Sur la liste de la Légion d’hon-' que les Etats-Unis ont loué de la

Gloucester.

| | { l

DES ILES ANGLAISES LOUEES AUX E.-U.

! ï

incur, aurait déclaré le gouverns-i Grande-Bretagne les îles d'Ende:by:

yment français, il y à des écrivai:s, et de Canton dans le sud ‘le l'océan | sans lecteurs, des journalistes sans | Pacifique, pour y créer des bases a- : renommée, des acteurs sans pub'*|ériennes. La location, niaute.t-sn, ‘et des “héros” sans gloire. Si l'onis’est faite pour une péticle de 50 iveut que cette institution soit res- | ans et peut même s'étmdre indéfi- ; pectée, il importe de la purger to-! talement.” : itrat.

ÉTATS-UNIS | A VI WASHINGTON Le général | 5 AVIS

. Du Bureau de poste d'Edmonton

“quelque temps” à une armée de. . Le Maitre de Poste dési- re avertir le public que le service suivant sera en vi- gueur au Bureau de Poste lundi, le 2 septembre:

I n’y aura pas de distribu- tion de la malle par fac- teurs ce jour-là.

Les guichets seront ouverts de 8 a.m. à 10 a.m. et le corridor public de 7 a.m. à 6 p.m.

Les malles seront reçues et envoyées comme d’habitu- de et aussi le service ordi- naire concernant Livraison. Spéciale.

plus nombreuses “seraient essrn.: tielles afin de prévenir l’infiltration hostile dans notre hémisphère.” |

Débatant la questioñ du service: militaire obligatoire, on a demandé au sénat américain de conscrire la: richesse et l’industrie tout comme: le capital humain. ! :

Ces demandes en faveur d’ane! conscription complète de la finance, : de l’économie et des forces huma- | nes ont eu lieu après avoir apprisi que les services du gouvernement; américain avaient de la difficulté: à placer des commandes auprès des industries américaines.

RENT DU ROI DEMI) ou

DE SON PCSTE

LONDRES Le roi Georges, fa.

PA

t

De

Î 1

Le duc est allié, par le mariage, |

épousé le frère du roi, le duc de;

niment, d'après les terme: du vcor-

"

CARAGR ere 82.08 Etats-Unis ...… $2,50 EUrOpe ses 83.00

UN

|

le prisonnier allemand

la fuite de celui-ci, au bloc.

Quelque part en Ontario. La po- Ilice'et les solkiats armés prétendent ; avoir cerné le lieutenant allemand Werner Koche prisonnier évadé d'un

|

perçu Koche longeant un chemin

{ vainement “Halte”, Un bombardier a survolé la région boisée le fugitif laurait trouvé refuge et des détache- ments armés entourent le bois pour l'empéchér d'aller plus loin. Toute la lrégion est d' | surveillée. surtout depuis qu’on sait

que le fugitif avait en sa possession

un poste récepteur improvisé.

Des civils en armes ont entouré tout le district tandis que les bois et les sous-bois étaient minutieusement fouillés et qu'un bombardier de l'a- viation canadienne survolait le terri- ltoire, mais on n'a rien trouvé.

: TUNNEL DE 100 PIEDS Pendant que les recherches conti-

ldont Koche s'est échappé. Il est sorti par un tunnel de 100 pieds qu'ils s'é-

ltait creusé de peine ete misère, Ce

in'est pas évidemement, disent les autorités, l'ouvrage d’un seul homme.

{sonniers, ou à peu près, étaient dans le coup. Koche aurait trahi ses com- pagnons d'internement en s’enfuyant : seul avant la date fixée et aurait de la sorte ruiné le plan d'évasion col- lective.

EVASION COLLECTIVE On en est venu à cette conclusion lpar le fait que les compagnons de :Koche pouvaient tenter de couvrir l'évasion de celui-ci en répondant à

|sa place à.lappel de son nom le soir

de l'évasion. Les! circonstances d’une évasion collective étaient des plus fa-

PRISONNIER ALLEMA S'ENFUIT

jeause de ses sympathies pour le! Les autorités du camp de concentration d’où s’est évadé

camp d’internement ici. On aurait a-|

|gravelé et il se serait enfoncé sous! bois à l'appel de la police lu icriant

ailleurs militairement |

nuaient bon train, les officiers de po- | lice faisaient enquête sur la façon!

On est convaincu que tous les pri-!

No 47

ND

du nom de Koche, lundi le

19 août, ont la certitude que le tunnel qui servit à

rait permis une évasion en

vorables, dit-on, parce que de nou- veaux gardes entraient en devoir, ce soir-là. Mais devant l'évasion préma- iturée de Koche, aucun prisonnier ne tenta de protéger le fugitif.

Î LA RADIO

Des mécaniciens d'Ottawa ont exa- |miné le radio trouvé sous: le toit des s barraques des prisonniers. Ils disent ! que l'appareil à été fabriqué avec des ‘morceaux d'un vieil appareil télépho- nique. 1{ aurait été fabriqué au camp même et des lampes auraient été sub- repticement apportées de l'extérieur Les ouvriers outaouais ont nié que l'appareil püt être utilisé pour la transmission des dépêches à son sta- ge actuel mais disent qu'il n’est pas impossible que la chose ait pu se pro- duire un jour ou l'autre grâce aux |sans-filistes allemands internés au camp.

La police croit que les prisonniers utilisaient le radio pour capter les é- missions de nouvelles.

i

l

AUCUNE TRACE Pour ce qui est de la situation ac- tuelle, on n’a aucune trace de: Koche | depuis l'heure il a quitté la prison let est sorti du tunnel, lequel. donnait dans un champ de mais.

Une seule chose es tsüre. C’est la façon dont le tunnel a été creusé. Ko- che et ses co-conspirateurs. .appor- taient la terre dans la poche de leurs vestons et la jetait dans les toilettes. En attendant, tous les hommes. qui auraient eu des raisons d’aider le pri- {sonnier à s'évader sont étroitement | surveillés et le général E. de B.-Pa- inet, surintendant des camps d’inter- | nement, est rendu sur les lieux: pout | faire enquête.

COMPLICITE La police dit qu'il est. maintenant

î Î

j

° évident que Koche avait la complicité

ide travailleurs canadiens du camp

pas le seul domaine il nous faut lutter d'arrache-pied et. sâns.canadien:et..qui vient-d'être. nommée: vorisant le lutte contre les’ä&ents de défaillance, en l'an de grâce 1940, pour obtenir.quelques bribes supérieure de 12: mission de. Sandy la cinquième colonne, a démis le duc! &e français. 5 \Bay. Manitoba; Sr .Marie-François, de Buccleuch, 46 ans, un des he

Mais c’est de la radio qu'il est question ici. Et c’est à elle! ces SS. de Ste-Anne: Sr Alphonse-! riches propriétaires de terres de la! que nous avons pensé en entendant M. MICHAUD déclarer: ! Joseph, des Filles du St-Esprit: Sr: Grande-Bretagne, de son poste de: “£’histoire nous apprend que Îcs peuples qui ont lutié sont les, Marie de Nazareth, des Servantes de | grand maître dela table du palais | peuples aui ont fini par tricmnher”. | Jésus-Marie: le R.F. Dominique, ca-} royal. (Intendant) É |

Nous sommes un très.petit peuple dans l’Ouest. Dans ee Sr Céline du Carmel, des SS. Le duc, ‘in Ecossais, associé du!

mn |

;

i d'internement. Elle a ordonné que les

NSEIL ADJOINT ET PERMANENT DE LA DEFENSE Un premier pas vers one ne entre les E.-U.

CO

| recherches pour retrouver le lieute- nant allemand se poursuivent dans tout le Dominion. On est d'avis que \ Koche a réussi à gagner Toronto ou ‘à sortir de l'Ontario.

| Quelques ouvriers ont été congé- es pour avoir conversé avec les pri- sonniers. La police est d'opinion que

lombie sont les plus mel partagés nous ne sommes que 160,- 000 sur un total de 3 millions. -Mais nous sommes un peuple; quand même et nous savons que les peuples qui ont lutté ont: fini par vaincre. Aussi, ce que nous avons demandé, ce que nous; ne cesscrons de réciamer, nGus savons que nous Paurons! VICHY, France. —Le gouvernement _" Nous j'aurons à condition qu'aucun de ceux de notre race, Pétain confirme officielement que un ccéan à l’autre, n'oublie l’autre phrase de l'émission quiilancien ministre de l'Education na- nous a fait ‘“jongicr”, celle de M. le Sénateur BEAUBIEN:Itionale, M. Joan Zay, Juif français, “Soyons donc unis et foris ct finalement nous forcerons 12 vic- ! est présentement sous arrestation à toire.” ar -: Ciermont-Ferrand et qu’il sera tra-

M. le Sénateur, lui non plus, ne s'offusquera point que nous duit devant le tribunal militaire sous ayions retenu surtout cela de son beau discours, ni que nous l'accusation de désertion de l'armée. voulions en faire l’application à notre camragne de la radio. La date du procès n'est pas fixée.

Malgré toute notre volonté de gagner notre cause, nous! Æ Æ n'entretenons aucune illusion sur les conditions d’une victoire.

La guerre actuelle a illustré plus que jamais la puissance: irrésistible de la masse: Pologne, Danemark, Norvège, Hollan-'ancien président du conseil, est à de, Luxembourg, Belgique, France la valeur des défen-; Marseille; que Vancien ministre juif scurs n'a. point fait défaut. | ll

Dans l'Ouest, il ne nous a pas fallu l'exemple de Ia guerre: |

c'est depüis toujours, nous le savons, que Ja masse nous impose! ses volontés après nous avoir envahis.

Laissés à nous séuls, par conséquent, nous serions fous de: couserver quelque espoir. | |

Mais nous continuons à croire qu’un jour ou l’autre et au plus tôt de grâce! tous nos frères de l'Est se mettront en marche.

Même si dans l'ensemble äu pays les nôtres souffrent énor-| mément de leur infériorité numérique, ils forment tout de même une masse imposante, infiniment moins hétérogène au point de: vue ethnique que la majorité: clle “Fercera la victoire” quand, our étre forte, elle sera unic.

Et voilà pourquoi nous de démordrons pas!

Les ASSOCIATIONS NATIONALES DE L'OUEST. * x #

| | Dernière Heure! Nous venons d'écouter l'émission “Tous pour la victoire” du!

21 août. | D Surprise! Ce sont les mêmes dicours de MM. Michaud et ère celle du 14

quatre provinces réunies ceux des nôtres au vivent en Co-| Î

CE QUI SE PAS

} |

REUNT PON VE AC E EEECRURE

&

Reaubien qu'à l'émission de la semaine derniè août. C'est plutôt le même disque. .

Erreur de la part de CBK? Elle ne serait pas surprenante car en dépit de nos réclamations réitérées tous les em-

Le colonel FRANÇOIS de la RO- QUE.

|

SE EN FRANCE

Georges Mandel est, au Maroc sous bonne garde. à l'endroit même | lord Gort et Alfred Duff-Cooper ont| jdental

posEene A NOR A gon- | A la suite de conversations, les 18 naît pour le président du conseil; quel + 19 août dernier, entre le premier Paul Reynaua, ancien président du’, inistre Mackenzie King et le pré- conseil, se repose dans son village de} jdent Roosevelt, les chefs des deux.

OGDENSBURG, N.-Y.—Le Canada et les Etats-Unis ont ait un pas vers une alliance militaire pour la défense de la partie nord de l'hémisphère oc-

RENCONTRE KING-ROOSEVELT

de l'armée des Etats-Unis, comman- |

dant de la division de l'Atlantique; le capitaine Harry-W. Hit, de la Marine des Etats-Unis. Remplaçants: le com- Imandant F.-P. Sherman, de la Ma- jrine des Etats-Unis et le lieutenant col. MacNarnay de l'armée des Etats- Unis. Secrétaire: M. John-D. Hicker- legs chef adjoint de la division euro-

, certains ouvriers ont aidé le jeune al- |lemand à creuser le tunnel, car seul, il n'aurait pu y parvenir. Ils auraient fourni le bois qui servait à étayer le tunnel.

En attendant, la frontière canado- | américaine est fortement gardée et | toutes les routes du pays sont surveil-

lées attentivement.

|

+ + 9

d

On rapporte qu'Edouard Daladier,;

{visite à M. Herriot, à Lyon.

a remplacé les Croix de FCu vient

-l'activités sociales, comme l'aide aux

Barcelonette, dans les Alpes: qu'Edou- ard Herriot, ancien président de | Chambre des députés et maire del Lyon, est à Lyon mais que dans le public ‘il se fait un mouvement pour exiger sa démission; que Paul Massi- gli, ancien représentant français.à la Société des nations et ambassadeur à Ankara, est rappelé à Paris: que M. Paui Reynaud a rendu incoghito une

+ + + Le colonel François de Roque, chef qu Parti social français qui

de changer le nom de son parti, pour rester dans la légalité, “Mais, dit de in Roque, rien n’a été changé dans| notre idéal”. Le Le Parti Social Français devient le “Progrès Social Français”; les initia- iles P.SF, sont restées les mêmes, imais le mot parti a été supprimé. Toutes les activités politiques du mouvement ont été suspendues et 1e P.SF. s’en tiendra maintenant à des

réfugiés et aux prisonniers..de guerre. Le colonel de la Roque, fervent par- tisan du gouvernement français, a de- mandé à ses hommes de “conserver june patriotique vigilance.” :

| ment.

nations ont annoncé qu'un comité permanent de défense serait formé immédiatement par les deux pays.

Alors qu'ils ‘échangeaient un dernier salut sur le train présidentiel, ils ont fait la déclaration suivante:

“Le premier ministre et le président ont discuté des problèmes de mutuelle défense en vue d'assurer la sécurité du Canada et des Etats-Unis.

«T1 a été convenu qu'un comité per-|

manent de défense sera formé immé- diatement par les deux pays.

_“Ce comité permanent de défense commencera immédiatement à étu- dier le problème sous tous ses aspects: la marine, l'aviation, l'infanterie, le récrutement du personnel et le ma- tériel de guerre.

“Le comité étudiera dans toute son étendue la défense de la partie nord de l'hémisphère occidental.

“Le comité sera formé de quatre ou

cinq membres de chacun des deux| bat.

pays et il se rencontrera prochaine-

OTTAWA. M. Mackenzie King si (chars d’ | d'assaut), Oshawa;

a annoncé les noms des Canadien qui feront partie du conseil adjoin ‘et permanent de la défense.

Les Canadiens nommés à ces postes

sont: M. O.-M. Biggar, C.R., Ottawa;

plovés de CBK sont des unilingues: du Français et du grec, c’est! bonnet blanc et blanc bonnet pour eux. si Ou bien la SRC serait-elle à court-de disques? |

UNE LETTRE DES ANCIENS (

OM-

LES ASSOCIATIONS NATIONALES DE L’

Énrtemt MONTREAL. Quelques 202 offi-} ciers de la première division canadien- | Mackenzie King a dit à une coriféren- jerr'e : débarqués dans| . | ue en Angleterre sont débaïd os Libres un port de l'est canadien. Ils sont me + a D eh valides et incapabes de faire partie de) Pérait Re l'armée à l'avenir. Ils st dirigent| mage’ commencera. SCs opérations cet | vers des hôpitaux ou leur foyer. aulomne. Tous ont confiance que la Grande-|,embres qui organisera le mécanis- rréter s daus ? SAS peer jes AHeANeE dE me pour la collection de l'assurance- leur marché. Ils ne peuvent trop lou- anger les forces armées de l'Angleter-

rs,

OTTAWA. Le premier ministre

groupements d'anciens combatants ‘fr:

t

‘en une Légion ‘nationale des ancien

crainte d'avoir des enfants. «gi hous voulons la résurrection

chômage sera connu edans quelques | dotrent dévelonrer l'esprit de la rÉUrE

icuts, a Ÿ um our sms cenee eme te ae

oursr RATTANTS DE FR

PARIS, via Berlin. Fidèles au désir du gouvernement de Vichy,

que le gouvernement es- | néuf membres avec mission de préparer Ja fusion des différ

La commission ‘de trois | que ia défaile de la France est due à 1 sens des responsabilités, au manque de conscience, à l'anarchie et à la

ANCE À PETAI

ançais ent nommé une commission de entes associations

s combattants.

:

de la France, dit'la “léttre, les adultes fe et éduqur les enfants dans ce sens".

Lie brigadier Kenneth Stuart, D.S.O.| M.C. chef adjoint de l'état-major gé-| néral; le capitaine L.-W. Murray, D.|

jor général; le capitaine E.-W. Mur-

N S.O., MC. chef adjoint de l'état-ma-|

ray, MR.C. chef adjoint du quartier- * Jes| général de la Marine: le commodore de l'Air, A.-A.-L. Cuffe, C.AR.C:, du

M. H.-L Ke partement des- Affaires extérieures.

Dans une lettre au maréchal Pétain, les anciens ‘combattants ‘discñt| Voici maintenant la liste des nomi- à crainte du travail, au manque de nabions faites à Washington et qui à été publiée en même temps qu'au Ca-

nada:

smntsnme

quartier général de l'Air; secrétaire enleysid e,conseiller dé-

° M. Fiorella-H. Laguardia, maire de New-York, président du conseil des|

Le Tiosctinnnt eénénal Embiclr,

| péenne du département d'Etat.

Dernière heure: le prisonnier évadé La première réunion du conseil aia été arrêté à Montréal et mis sous cu Jieu à Ottawa lundi le 26 août. june garde. sévère.

ON FORMERA UNE DIVISION DE “CHARS D'ASSAUT

Le Canada possède maintenant une armée de 255,000 hom- mes, dont 114,000 d'armée régulière, 100,000 de la réserve et 40,000 du contingent expéditionnaire actuellement outre-mer. C'est ce que vient d'annoncer le ministre de la Défense natio- nale.

L'hon. J.-L. Ralston, au cours d’une longue conférence de | presse qui a pris fin au début de l'après-midi, a aussi fait con- naître la nomination d’un état-major et la formation d’une brigade d'armée complètement motorisée et mécanisée. Cette jbrigade augmentera éventuellement ses effectifs au point de | former une division entière de compagnies de chars d'assaut, de voitures blindées, de motocyclettes et d’autres véhicules de com-

Le-commandant d'état-major de notre première brigade MmO- torisée et mécanisée sera le colonel F-F. Worthington qui aura sous ses ordres les quatre unités suivantes prises à même la ré- ‘serve de l'armée canadienne: le Régiment de Trois-Rivières assaut), Trois-Rivières, le Régiment d'Ontario (chars le Premier Régiment de Cavalerie du Cana- da chars d'assaut), London, Toronto, Winnipeg; les Cavaliers de Fort Garry (chars d'assaut), Winnipeg.

ESSAYEZ LA RECETTE ‘’SALADA' Infusez 6 pleines cuillerées à thé de thé noir “SALADA" dans 4 chopine d'eau fraichement bouillie. Après 6 minutes, Filtrez l'infusion et versez dans unrréci-

ïent d'une grandeur de 2 pintes; pendant que le liquide.est encore chaud, ajoutez Fi 14 tasse de sucre et le jus filtré de 2 citrons; agitez jusqu'à ce que. le. .sucre soit fondu; remplissez le récipient d'eau froide. Veillez à ce que le thé ne se refroidisse pas avant que l'eau froide Sue autrement le liquide devien- drait trouble. Ajoutez glace et servez.

u ette recette fait 7 ararde vetren

H

|

PC ve

LE SCANDALE DES DIVORCES À | _ . OTTAWA

"On Laits plutôt on ne sait pas ‘assez, comment le divorce) s'obtient facilement à Ottawa. Des dépêches de presse mention- nent parfois les tristes records établis dans la ville de Reno,

au Névada; Ottawa quant à cela, ne le cède guère à la ville né- vadienne, et, dans son cas, ce qui est pire, la réputation même du Parlement canadien se trouve honteusement engagée.

:. : Le premier saligaud venu, la prmière saligaude venue sou-| met un bill au Sénat, se présente avec ses faux témoins devant un comité sénatorial et le tour est joué. La Chambre des Com- munes donne, simple question de forme, son assentiment, et le divorce est décrété, quelqu'un à déjà dit qu'il n'y avait pas de plus belle usine de parjures au pays que le comité sénatorial _du divorce. Question de principe mise à part, quant à l'illégiti- mité manifeste du divorce, la façon de procéder à Ottawa ferait

Sr elins

du comité sénatorial.

M 2 ee

| BOITE AUX : QUESTIONS

—Les protestants disent que le Christ est le chef de l'Eglise, et ils le prouvent par la Sainte Ecriture. Îls nient donc que le Pape soit le chef de l'Eglise, Comment leur ré- pondre?

Les protestants disent: que le Christ lui-même est le chef de l'E- glise, et c'est parfaitement vrai. Mais ils concluent immédiatement: donc l’évêque de Rome ne peut pas être à la tête de l'Eglise. Seulement,

Fleuve historique . s'il en fût,- le); Rhin a une origine modeste: trois ! ruisseaux issus du Saint- Gothard s'unissent pour former un torrent, qui se. ‘précipite vers le lac de Cons- tance. après avoir franchi les chutes de Schaffouse, il se tranquillise,

au nord en quittant la Suisse pour arroseï ,la-France, l'Allemagne et ! les Pays-Bas. 11 achève sa course! inglorieusement, quoique. ; itrès ütile- | ment, en un labyrinthe ‘de branches ils se .sonfond avec d'autres riviè- res, ‘:

Je l'ai suivi, il y a longtemps, de!

URL LES BORDS DU RHIN

CORRESPONDANCE EN PAYS ENNEMI

OCCUPE PAR L’ENNEMI

‘Allemands, qui prenaient la matière au sérieux.

MERCREDI, LE 28 AOUT 1940

LA Ne pas insérer plus d’une

lettre dans un pli à expédier outre. mer,

8. Ne pas insérer de monnaie,

d'imprimés, de cartes postales illus- trées, de photographies ni de tim-

Sur le pays, planait visiblergent | Règles à observer bres-poste. l'ombre du militarisme, comme au- TE 9. Etre aussi bref que possible. jourd’hui celle de la swastika. Dès}: 1 Chatue lettre doit être at-|Les lettres de plus de deux pages son entrée à l'école, l'enfant était compagnée d'un bon de poste ‘le | seront refusées. soumis à une discipline minutieuse, 0 cents pour couvrir les frais de] 10. On devra s’en tenir exc:

«

fort le régime militaire.

L'armée, très à l'honneur -chez les | i Prussiens, était toujours en éviden- | ce. Dans les villes, des officiers | veloppe à expédier outre-mer. d’une arrogance incroyable, sanglés 3. :— Inscrire, dans la lettre, le dans leurs uniformes, paradaient nom de l'expéduteur mais non so sur les trottoirs avec des airs de |

adresse. conquérants et ne cédaient le pas à

*

jau Carrada. ‘2, Ne mettre aucune adresse!

, 4. Ne donner aucun renseigne- | Bâle à Rotterdam. Je l’ai vu sous; personne, pas, même aux dames.

stinata’-

s’élargit, puis tourne . brusquement | rigide, à laquelle succédait sans ef- | t'2nSport de la lettre au .. inata'-|sivement aux affaires privées ou | re, et de la réponse à l'expéditeur ! sinon aux mouvements militaires ou économique.

11. Eviter de mentionner

de renvoi ni timbres-poste sur l’en- maison Thomas Cook et lils Lie, dans la lettre.

12. Les iettres destinés au:

| préciniess de guerre ne doivent pas l'être envoyées à. MM. Thomas Coux

iet'Fils, Ltée.

plus que justifier,‘et depuis COPIER de temps, la ui

L'autre soir, à la Chambre des Communes, l’on proposait|ils ont tort de conclure ainsi, La! la ratification, comme en bloc, d’une trentaine de divorces. M. primauté du Pape ne supprime pas Pouliot s’est fâché, avec combien de raison: le Christ comme chef mais le sup-

“L'on demande constamment aux députés de ne pas retar-| Pose, au contraire, puisque c’est du der l'expédition des affaires de la Chambre; voici pourtant qu’on Christ que Pierre et ses successeurs nous soumet ces projets de législation putride, qu’on nous de- reçoivent leur autorité.

mande de les ratifier en vrac, ce dont nous devrions avoir hon- tee. Pourquoi laisserions-nous passer ces bills de divorces? A la! seule fin de permettre aux avocats de l’une et FeUtre partie de, toucher chacun des honoraires de $500? 5

- “Que l’on examine la preuve pestilentielle qui nous vient du|fndes Sénat, à l’occasion de ces bills, l

moins sont toujours des enquéteurs payés pour regarder par le trou de sérrure et payés pour découvrir un homme et une fem- me dans une chambre, pour voir quelques vêtements sur une|pPar un vice-roi à qui il communique chaise, une bouteille de whisky sur une table, bouteille à demi|lautorité requise pour l'exercice de pleine et deux verres. Et c’est sur pareille preuve que les hono-|ses fonctions. Que diraient les pro- rables messieurs de l’autre Chambre se > prononcent sur une de-|testants si les compatriotes de Ma-

mande de divorce”.

on verra que c'est la même visible, chose: le récit des choses vues par un trou de serrure. Les té- mis les

Nous pouvons montrer cela par

jun exemple tiré du pouvoir civil. Le Mayence. Là, ‘il est d’une largeur

roi George VI est empereur des In- des. Mais pour les habitants des notre roi est un empereur in- puisqu'il n’a encore jamais pieds dans ce pays.

‘Toutefois il se fait représenter

hatma Gandhi refusaient de recon-

M. Pouliot-est d'avis que puisque nous devons avoir le cons-|naître l'autorité du vice-roi, sous cription militaire dans notre pays, le moins que nous devrions |Prétexte aus one re è ns faire si le divorce subsiste, c’est que l’on condamne les divorcés rité de l'empereur? Ils diraient, et

à être les premiers conscrits et armées comme cantinières.

les divorcées, elles, à servir aux!

|avec raison, qu'il est contradictoire ide vouloir reconnaître l'autorité su-

“Notre façon de traiter le divorce, a dit M. Pouliot, est une |Prême 5 Ru toute as -disgrâce. Les volumes de nos statuts parlementaires sont rem-|fusant le droit de,nommer un che plis de demandes de divorce par Monsieur un tel ou Madame une| Pour agir en FOR ROME

telle. Qui donc peut affirmer qu'il s’agit d’un monsieur, d’ gentleman? Qui donc peut affirmer que MadameX..

un . en instance

de divorce, mérite que les législateurs du pays s occupent d'elles

“Toute cette affaire de divorce est une honte. A mon avis, nous-mêmes, nous devrions avoir honte de participer à. pareille äffaire. Je ne trouve pas de termes assez forts pour la dénoncer. Nous sommes des fous de laisser passer de pareilles mesures simplement pour donner la chance à quelques parasites de se

présenter devant le Parlement

pens de notre honneur. Je tiens à le répéter, les rapports du co- mité sénatorial sont stupides et, dans neuf cas sur dix, il n’y aurait pas un juge qui voudrait accorder le divorce Sur une preuve :comme celle qui est reçue par ce Comité. .

" “Au comité, quelles questions bose-t-on? Par ‘exemple, cel- les-ci: Y a-t-il <consntment de l’autrie partie?’ Y a- t-il eu .col- lusion entre les parties? Les parties intéressées répondent. non. Il leur est loisible de se parjurer. Il est évident qu’ elles se par- jurnt, la chose est:d’ailleurs admise. Il en est qui -absorbent cela comme une gorgée d'eau et: qui se croient la:: ‘conscience nette C'est simplement. honteux. En tant que citoyens honnêtes, nous ne pouvons ‘faire autrement que de désapprouver de ‘pareilles mesures législatives. C’est une perte de temps et c’est une malé- diction. Je regrette que.mon vocabulaire ne me perméette pas d'employer d'expression plus fortes. On nous demande de voter

ces bills de divorce. Ce sont toutes des mesures pourries et nous

devrions les rejeter”. Les trente bills de divorce

même soir. Le comité sénatorial du divorce continuera, comme avant ses honteuses enquêtes. Démocratie en putréfaction!

et de frapper monnaie aux dé-

ont quand : même ‘été votés, ce

Félicitations, au nom des honnêtes gens, à Jean-François Pouliot pour son courageux discours.

(Le Devoir)

Albert ALAIN

: ;

LITURGIE

. (S. Luc, chap. XIV, V. à 11.)

En ce temps-là, Jésus étant en- {ré dans la nmraison d'un des princi- Bar x pharisiens, un jou= de sabbat, Pour y prendre son repas, ceux. qui se ‘trouvaient lebservate ‘4, car il y avait devant lui un homme ky- dropique. Jésus, s'adressant donc aux docteurs de ln Joi et aux pha- risiens, leur dit: Esti permis de gvérir le jour du sabbut? ajais ils . Fardèrent le silence; et lui, prenant <ét homme par 15 main; le guérit et le renvoya. 11 leur dit ensuite: Qui de vous, si son âne on son Facuf vient à tomber dans un puits, ne 8e hâte de l'en retirer, même le jour du sabbat? Ils re pouvaient rien lui répondre. Remarquant ensujte que les conviés choïsissairat les pre- miîères places, il teur proposa cette parabole: Quand vous «urvz invité à des noces, leur dit-1, ne prenez voint la première place, .de Peur awil ne se trouve parmi les conviés quelqu'un plus élevé en dignité que Yous,.et que celui qui vons aura 5h- vités tous deux ne vienne vous dire: Cédez votre pläre à celui-ci, et qu’a- lors vous n’aÿez ?a confusion de des- cerdre à la: dernière nlace, Mais ‘quend vous’ seréz invité, ullez vous

che en nous abstenant seulement de tout travail servile. Faisons plus, approchons-nous des sacrements, as- sistons avec ferveur à la messe et

Taux saïnts offices, pratiquons d’au-

tres oeuvres de piété ou de charité: alors vraiment nous aurons sancti-! fié le. jour du Seigneur. Quant à Tl'orgueilleux, il n’a qu'un but, s'é- lever au-dessus des autres, arriver en tout aux premières places. Mais devant Dieu il n'y a de dignité ré- elle que dans la vertu. Oh! un jour, combien les rôles seront changés! Ceux que l’ambition aura portés aux plus hauts honneurs se verront a- baissés, couverts de confusion à la face du monde entier, et l’humble chrétien qui se sera tenu dans la simplicité de sa foi, -dans la modes- tie de son rang, sera exalté, couron- de gloire aux yeux des anges et des hommes. Le ‘plus humble sur la terre sera le plus grand dans. les cieux.

EG PP RE RE

OTTAWA. Le premier ministre Mackenzie King a déclaré que l'éta- blissement d'une commssion perma- nente de défense, par les gouverne- ments américain et canadien ne né- cessitera en rien le rassemblement prémauré du parlement. :

A moins que quelque chôse ne sur- vienne, le parlement ne sera pas con- voqué avant le 5 novembre, date à Jaquelle il s’est ajourné, il y a deux

iacitre à la dernière place; de serie | Semaines:

que. celui qui. vous a invité vous dise lorqu'il viendra: Mon, «ini, movtez plus haut: ce: qui sera in honneur

pour vous aux yeux de tous’ les cen- |

vives; car celui. ii s'élève sera hu- mé, 4 et celui qui pans sera é- levé. s ;

REFLEXIONS

és neigiquenient flétris dans cet évan-

. gile.| Celui-là ‘est un hypocrite, aui, |:

"dl servant les” actes extérieurs de la e*Dieu : ‘pour. ‘tromper les hom- églige den accomplir l'esprit, du’ ’elle a. surtout d’essentiél, la

Aéhypocrisie. et lorgueil sont é- éimanche à Falaise

WASHINGTON. Accusant Wil-| liam C. Buüllitt,. ambasadeur améri- cain en France, de s'être rendu con- pable d'une chose “très prés . d'une trahison”, 1h. groupe de sénateurs indignés, a violemment attaqué le di- plomate à cause: le son discours de

“DUBLIN. —_ On a | révélé le ils d'un paquebot anglais de 5,000: +on- nes, ‘en. route: pour l'Amérique avec des réfugiés de ‘guerre “anglais, cer-

| | à | É

Pour la même raison, si Notre- | Seigneur a donné à saint Pierre et à ses successeurs le pouvoir de gou- verner en son nom, cela ne veut nul- lement dire que le Christ n’est plus le chef de l'Eglise qu’il a fondée. Notre-Seigneur est la pierre angu- laire de lEglise et son fondement inébranlable. Cependant Pierre aus- si est la pierre sur laquelle l’Eglise est bâtie, parce qu’il est rendu 50- lide par la puissance même du Christ, de telle sorte que ce qui appartient en propre au Christ est communiqué également à son vicai- re sur la terre. ie 5

Los

TROIS-RIVIERES.

liaire de Montréal. Ce sont les RR. PP. Wilfrid Gariépy, s:j., fils de l’hon.

main, S.j.

L

Deux nou- veaux prêtres des Trois-Rivières ont|de son mari, fût-il prince; conseiller.| été ordonnés par- Son Exc. Mgr Jo- seph Charbonneau, archevêque auxi-

longues files de bâteaux chalands ti- lrés par des remorqueurs minuscu- les, et roulant, à l'heure du couchant, ‘des flots dorés par le soleil.

| Le pays qu'il arrose à été géné- reusement doté par la nature: col-! lines verdoyantes, prés fleuris, vi- gnobles et vergers attirent les re- gards: les’ villages nombreux respi- rent le bien-être et l’aisance, et les villes sont grandioses, -

Partout, règne l’ordre méticuleux cher à l'esprit allemand qui ne lais- se rien au caprice. Tout est aligné, ‘airangé méthodiquement, d’après un patron ARE SÉOMeQUe et plu- tôt artificiel. à

Les habitants ressemblaient au pays. Je des ai trouvé aimables, ac- cueillants, mais comme taillés à l’emporte-pièce. Race docile, sans esprit d'indépendance, excellente terre à potier aux mains d’un auto- crate. Les choses marchent à la ba-

|sait-on en cachette, à la suite de

| maltraitements. importante, bordé souvent de peu- |

liers, sillonné sans répit par del P L pit P ‘premiers sous-marins, le gouverne-

6. Ne pas cacheter l'enveloppe ; e destination d'outre-mer, et l’adres: ser en anglais.

Quand l'Allemagne eut bâti ses

ment leur fit remonter le Rhin en grande pompe. Sur Is rives du fleu- ve, les écoliers massés saluaient | ‘leur passage de chants nationaux: | die Wacht am Rhein, Deutschjand |

ment qui induirait que la lettre ns divers‘ aspects: en plaine, large, | Les villes de garnison avaient | vient a Crnadr, . e| 13. On peut écrire dans n'im. Ses . or. resser- quelque chose de sinistre, malgré É Accompagner chaque lettre : : porte quelle langue. se pres beauté et leur grandeur. On en- | une note. séparée, mentionnant au. 14. On ne peut &e servir I È lacid : :|tendait parfois des chuchottements | 1ong le nom et l’adresse de l'expé- | {imbres-poste pour fins de remise, ent ‘et placide parmi es prairies timides sur certains incidents de ca- duteur, cette note étant pour l'usa-: hollondaises, serne et nous rencontrâmes, un jour, ge de MM. Thomas Cook et Fils, | 15. Toute demande de rensei. C’est en Prusse. rhénane que je l'ai: | enterrement d’un soldat, mort di- Ltée. gnements adressée à MM. Thoma, connu intimement, pas Join de

Cook et Fils, Ltée, doit être accori. pagnée d’un timbre de trois cent: pour la réponse.

NOUVELLES BREVES

über Alles, ete (la garde du Rhin, | LA JEUNESSE AMERI- conbléte comme nous l'avions «ou-

l'Allemagne au-dessus de tout). | CAÏNE.

Somme toute, la puissance muili- | ; taire trônait déjà et elle n'a fait que) NEW- YORK On annonce la grandir avec une rapidité vertigi- récente fondation de la National | neuse ‘à peine ‘interrompue par. la: Foundation far. American Youth Grande Guerre. La terrible idole é-|pour faire contre-poids à l’'Amer- tait fermement dressée sur un pied-!ican Youth Congress, qui en estal sans cesse rehaussé. sous la domination communiste

Le résultat ‘de tant d'efforts est Gene Tunney est le président du apparent denos-jours. À force d’é- nouveau groupement. tre organisée, .militarisée, l’Allema- Le 29 août prochain, J'Anerieañ | gne est devenue un colosse mons-| Youth Congress tiendra un congrès i trueux, un Moloch insatiable, avide |dit de la “mobilisation d'urgence | | de sang, du sang de ses propres en-' pour Ia paix” à Chicago. La Natio-! | fants comme de celui des ennemis et | nel Foundation for American Youth des étrangers. prétend que cette réunion est une;

L'armée actuelle, formidable ms- l'entreprise communiste, vu que les

lhaitée dans le cas de la Francs, tous iles maux de la guerre n'auront jus été soufferts en vain”.

DES REFUGIES ARRI- Vent en Canada

Dans un port de l’est canadien, Un paquebot, ayant à son bord plus de 800 petits réfugiés et 400 passagers adultes, est arrêté dans ce port il a laissé quelques-uns .des passagers avant de continuer sa route vers un autre port de l'est canadien.

SR Se ES

LONDRES. La crainte de la puis-

guette, tout est prévu et réglé, et chine de destruction, a été forgee | organisateurs en sont les chefs deisance militaire de la Russie ct en

l'initiative privée n’a pas grand jeu. Les étrangers visitant en Aïllema- gne saluaient d’un sourire amusé la fameuse pancarte affichée partout: Polizeilich verboten (défendu par la. police). Les Allemands, eux, trou- vaient : tout ‘naturel . d'être...menés |. par-le bout: du nez et soumis à une bureaucratie autoritaire ét affubléé de titres résonnants. : Vos

“5

D'ailleurs, l'amour des” titres est joïe : et amour. Que di

lune manie bien allemande, : ‘tout’ le’ monde:en a. La’ femme reçoit celui

royal, professeur ou simple ‘artisan. Je me souviens de notre amusement lorsque le chef de gare reçut un -nouvéau titré, long : d'un bras, que

Wilfrid. Gariépy, cr, et Noel Ger-|nous ‘apprîmes par coeur, non sans

peine! Notre frivolité étonnaient les

L'ÉCOLE À LE DEVOIR DE PROCU- RER UNE EDUCATION CHRETIENNE

Discours de S. E. Monseigneur C Chiasson au Congrès des

Aca

Parents chrétiens, vous avez bien compris. L'éducation que vous devez donner dans vos familles et que vous {devez faire donner à vos enfants à l’école est une éduéation chrétienne, celle qui leur: assure le royaume de cieux par l’enseignement de la reli- gion catholique que nous a apportée Notre-Seigneur Jésus-Christ en vé- nant en ce monde. Toute école qui ne répond pas à cette obligation de dispenser une éducation chrétienne, n'est pas faite pour vos enfants. Si elle ne s'acquitte pas du devoir es- sentiel d'enseigner la religion elle ne peut satisfaire les exigences lé- gitimes et ‘nécessaires des parents vis-à-vis de l’éducation de: leurs en- fants. C’est dire que nos écoles, pu- bliques, celles qu’on impose au moins indirectement à vos enfants, ne ré- pondent pas à nos droits de citoyens catholiques, puisqu'elles ne tien- nent pas compte dans l’enscigne- ment qu’elles donnént, de la fin der- nière de l’homme et bien plus, elles refusent d’en tenir compte.

Aussi, Nos Très Chers Frères, no- tre conscience de catholiques nous fait à tous un devoir de protester par tous les moyens légitimes et que la prudence ne nous défend pas contre ce. système d'école qui refuse de donner à Dieu sa place,. la pre- imière de - toutes, . “à - l'école : comme | partout ailleurs, mais. surtout: à l’é- cole qu’avec raison on a. appelé un sanctuaire .où l'enfant. “doit appren- dre à devenir homme et chrétien fi-. dèle'et loyal à son pays et à .sôn Dieu. En attendant que justice nous.

tient, l'obligation | stricte de pour- voir par d’autres moyens, à ‘Péduca-

:. [tion catholique de vos enfants. Vous

devez tenir à leur faire’ enseigner la religion et pour. celà, "vous assurer

que. les commissaires d'école qui} vous représentent et . «tiennent en ! clusion que la “cinquième ‘colonne’ a-| quelque sorte votre place, procurent | vait probablement plus fait que les]

diens .

à l'enseignement religieux, “ans re- proche de: négligence: comme sans peur exagérée et mesquine des au- torités ‘scolaires. qui les paralyse-

aux dépens du bien-être, du bon-! heur, de la vie même des masses | asservies. La docilité du peuple st devenue servilité d’esclave; Pobéis- | sance est aveugle, sans réplique et sans appel.

On. a souvent des nl: Ordre religieux son culte de Vobéis- | sancé,: obéissanée pourtant trèg râi- Sonnable, très’ Mégitime, ‘offertef avkc’

la Young Communist League et de: l'American Youth Congress.

|

D’AUTRES PARTISANS : . D'ARCAND ARRETES

.- MONTREAL. La, police montée! a annoncé au’elle avait. arrêté d'au- au : parti; iNégalisé de \r'Unite FNationalé, On sait, qu’Adrien|

Hracteurs de: l'espècé: idemandé pa T6 il-y-l quelques semaines. les Nazis? Pour eux, l’obéissance | est absolue, elle -né. ;tolère, pas: Ja. tées, moindre objection, . ni le xaïsonne- ment; elle oblige, er outre; sous pei- ne de mort, ou de Camp de concen-|j4 littér ature subversive. , tration, au parjure, à la trahison, | ne aux crimes les plus Acte indignes d'êtres civilisés. De là, les horreurs :

de la guerre présente, menée en dé- e g fi des lois divines et humaines. VICHY. France, Environ 800,

Le Rhin, lui, va toujours son che- | 000 réfugiés et plus d'un million de min. Le même Rhin, qui a vu Cim- soldats démobilisés sont retournés bres et Teutons, Romains et Barba-|à leur foyer en France occupée a- res, sépare encore les Francs et les! Vant le 10 août, a-t-on annoncé. | Germains. Dieu l’a mis là, et il] Tous les réfugiés, ou à peu près restera tant qu’il plaira à Dieu. 11 [ tous, seront retournés à leur foyer a vu guerre sur guerre, invasion a-|4vant l'hiver.

rès invasion. Les conquérants ont NOR O2 na aie les naine ont _ 50 DESTROYERS AME- dans l'oubli. Après l'horreur pré- RIC AINS DISPONIBLES

sente, comme après les malheurs passés, survieridra l'accalmie.

De même qué Charles Martel ar-

à:, «Sherbrooke, Plessisville et à | Drummondville, ‘seront. aussi incar- cérées. On a saisi en. même temps de

Lean

AE FRS Re raient dans l'exécution de leur de- rêta la marche victorieuse des Sar-

voir d'instituteurs et institutrices :ca- rasins et ‘que Mérovée et ses. alliés

tholiques. Il est évident que l’ensei- |battirént les hordes: barbares d’At- gnement du catéchisme et l'exposi- | tila, les défensèurs de la civilisation tion de l'image du Christ'érucifié ne moderne sauront refouler.ces nou- peut se faire dans toutes les écoles indistinctement, mais les élè- ves sont en majorité, et, encore plus, totalement catholiques, rien ne de- vrait empêcher le Crucifix de tenir sa place à l'école; et l’enseignement religieux pendant ou, au moins, =- vant ou après les heures de classe. Rien-ne. doit empêcher non plus que tout l'enseignement des matières scolaires ne soit er quelque sorte pénétré ou informé par la religior chrétienne.

veaux Huns qui menacent l’existen- [ce même de l’Europe. . Quand ‘la mer monte, il semble que rien ne pourrait l'empêcher de submerger les grèves et les terres.

crit par le Créateur, elle s'arrête .et recule.

Pareillement, quand le temps sera mûr, Dieu fera signe. La marée in- fernale et destructive déchaînée par des monstres voués au mal s'arrê- ‘tera à sa voix. Cet instant sublime arivera, croyons-le avec une espé-

VICHY. Les autorités allemandes|. rance que rien ne puisse ébranler! ent fermé la frontière entre la Fran- Alors, les peuples haletants sor- ce occupée et la Françe libre, Le tra- tiront de leur cauchemar et respire-

L

fic ferroviaire ‘et automobile est cou- ront à l'aise dans un monde renais- et: les piétons même ne peuvént sant à une. vie mouvelle, à la lumière, traverser la ligne entre les deux par- à la ete précieuses Lies de la France. Les trains spéciaux! 2PTÈS Sa Por AO

aui transportent ‘les réfugiés ont sus- ; Ignace LANGIN | pendu, leurs. voyages. On se: demande | si ce, este .ne: signifie. pas que l’Alle- SD

magnë va. bientôt tenter l'invasion de:

s Grande-Bretagne. -

2e + EE OPEN ER ET RENE"

1e

|

| FeIBique.

; WASHINGTON: De. retour de : Londrès. ‘il s'était rendu sur l'or< ROME. Les autorités italiennes âre du colonel Frank Kñox, secrétaire! ont indiqué que des opérations pour | de la. marine ‘dès Etats-Unis, le. co- fermer l'äccès de l'Angleterre à la

quième colonne en Europe, avant et de: Borbera, s sa CARE rendant la présente guerre. Dans la|..…. capitale anglaise, Donovan 2 rencon-| | tré Edgar Movwrer, un journaliste, et| | RUSHVILLE, And, -Wenäell' L à eux: :deux, ils ont mené une enquête ‘Wilkie a. dit que le discours fait à la approfondie pour en venir: à la <on-

| ATHENES.

|

; | vaquie, Norvège, Pays-Bas, France ct! tions italiennes.

|

soit faite. pleine: et entière sous. ‘ce lIonel William: J.' Donovan a fait un|mer Rouge feront suite à-1a conquête LONDRE rapport, vous. avez, parents. chré-| long rapport sur le travail de la cin-1 de la Somalie anglaise et l'occupation lisha,

rédlo par. ‘le. secrétaire Ickes. est un | vait parlé. des. relations de -plus “er “pur et:simple tissu de thensonges” plus étroites :- -entre la; Grande.B ei] et qu'il est “stupédait que le président tagne et les Etatas-Unis,: il: a fait

-troyers américains .seraiént prêts à quitter les côtes de l'Amérique pour prendre la jéfense de la’ Grande-Bre-

tagne en-dedans: d'uné semaine, si la|.

Chambre des représentants veut tou- tcfois se rendre au désir du premier ministre Churchill.

Plus de cent des 123 destroyers qui

ee. démodés ont été réparés et le

resie devra également servir de nou-

Pourtant, à un moment donné ie veau.

PRECAUTIONS EN GRECE

L'armée grecque à supprimé “toute permission pour offi- ciers et soldats alors qu’un porte-pa- role responsable a déclaré: “Nous re

serons pas pris par surprise si lai

Grèce est envahie”. Dans une troisième tentative de renforcir son armée, le gouvernement a appelé sous les drapeaux plusieurs milliers d'hommes. .AuU cours de la se- maine, l'armée a rigoureusement su- bi des tac HsRuOns et des amélio- rations. : oi À Les pr écautions grecques sont justi- liées à ‘la suite de violentes accusa-

UNION POSSIBLE DE L'EMPIRE BRITANNI- QUE ET DES EU,

S Mi Lestié Loe , ancien ministre dela, guerre, a: parlé aux Communes d'une “union | -| possible de l'Empire. britanniqué et des Etats-Unis comme: résultat de LE guerre. Prènant: la. parole aprés le

preñieï ministre : Churchill que.

a

particulier de la puissance de la for- ce aérienne soviétique pourrait for-. cer Hitler un jour ou l'autre à limi- ter ses attaques contre la Grande- Bretagne, à déclaré en chambre des Cemmunes le premier ministre Churchill.

. DUBLIN. | pris entre deux feux.

le - gouvernement, de l'Eire ne sait

ent féés dé: “Arearidy, chÈt du parti,.a été incarcé-, queJle, aftitude:prendre depuis que les

Allemands. lui.ont demandé de faire

Les personnes nouvellement, arrê-| connaitre les..mouvements des navi-

res. irlandais afin de ne pas nuire au “blocus.total’’:de, d'Angleterre par l'Al- lemagne. .

Dior | VALLEYFIELD. Allan MacDo-

nald, président: du comité de la “Vai- leyfiled's Industrial” a dit que lon construira une: manufacture d'acide sulphurique au coût de $1,000,000 dans lle aux Chats. Les produils de la ma- nufacture se vendront Canada el aux Etats-Unis.

DUBLIN. Un avion allemand s'est écrasé près de Cloghane, comté de Kerry, el les six membres de son

ÿ équipage dont jdeux gravement

blessés ont été internés.

WASHINGTON. Un personnag | CE APE ERE officiel. de la marine a dit qué 50 des-! ?

EQUILIBREZ VOTRE BUDGET!

Chère Madame : L'automne et l'Hiver cela veut dire de nou- velles chaussures pour Johnny et de nouvelles robes our Sue. Vous vous demandez peut-être déj? comment vous allez 1e faire. Alors entre en jeu le Catalogue de 422 pages d'EATON. Voyez grande variété de mar- chandises qui y sont de- rites à des prix qui vous conviendront. Sincèrement, ST.EATON EE

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….

WINNIPÉG IP.S.—S1 vous n'avez pas reçu votre exem- plaire écrivez immédir atement à Winnipeg et et nous vous en envers.

Ë ar é. ‘Ne “croyons ‘donc pas avoir tains d’entre eux en” “route pour les Satisfait à Fous qu” dipane FR UE .

St loire ds ne à

et maîtresses compétents ‘et dévoués | te rapide de & Pôlégne. Téhéco-Slo”|"

rons Une

‘aux élèves les services de maîtres armées ‘d'Hitler pour” améner ‘a chu- des” Etats-Unis ait” autorisé : un. un “décläration suivante: “Si “‘éette

iscours". ne : tendance devait: conduire : #1 Î runioni.

Ü

D PR CR FRE UE EE

Res .

| ioù leur Seront donnés les détails. “tribuée éemomiqement dans notre! PC, DU PETROLE CANADIEN méme Le Li Î mn '

ts

* périal, à Brandon ct à Saskatoon, et

- Mexique et l'Iraq. Le Canada. vient:

MERCREDI, LE 28 AOUT 1940

LE PROBLEME DU BLE -.

Un intéressant article du “Devoir” sur la’solution pro- | posée: le plan Chagnon

: Sous la signature de E. B., le! C'est absurde, plus absurde que | Devoir” de samedi dernier publiait | jamais dans les circonstances pré- larticle que voici: sentes, mais c'est ainsi.

ra ones de l'Ouest Une demande des Mariti. [JSSIR DOIT SE TENIR TOUJOURS

mes

ee en BIEN RENSEIGNE |

: A e 1e 1] ! les provinces de l'Est aient cette fois ee cs M. se d'utitiser | LE 3] ; l'impression d’être déraisonnable- éales canadiennes au Canada, | :

dirt | isqu’il ne nous est plu ibl . : Ë GR | ment dépouillées au-profit de celles Lea FRE: ROSSRIES La formation d’une b ê "ic Lo ibli : ; - de l'Ouest, alors que la chose se peut | A bull tes he cbetents

même faire à l'avantage et au profit | lement de bon sens que les gens des mers. Les bulletins des fermes d’expérimenta-| de l'Est aussi bien que de l'Ouest, Provinces Maritimes s’y rallient. Le tions. Communiqués des ministères de PAgricui-

pour qu'on la laisse échapper. LA de l'Agriculture de Nou- turre. La récolte qui se fait ces semai- |’ e"Ecosse, M. J. A. McDonald, si

: : tait à : : TRS . nes-ci dans les provinces des Praiï- . 7 on ces jours derniers Le cultivateur peut de nos jours Vous avez encore comme source : DRET epré : : ; ries est particulièrement abondante. P presenter au gouvernement puiser une foule de renseignements | de renseignements, votre agronome

4 fédéral iti : : : : On l’évalue dans les 500,000,000 de que les Maritimes pourraient dont il a besoin ponr accomplir son: POUT VOUS renseigner sur la marche | £érement celui des autres agneaux

boisseaux, rien que pour le blé. Les: AbAOïbEr immédiatement, à des fins greniers qui se trouvent dans ces d'engrais pour le bétaii, 10,000,000

ù : , [de boi éré mm mêmes provinces, ceux des ports à|,, ee de RRTAeS us l'orge. Mais il s'agirait d'aboïd, a-

la tête des Grands Lacs, des ports du til dit, d difi E Saint-Laurent et des ports du litto-| . di ' e me ifier les tarifs ferro-| ces. Ces renseignements vous sont sujets et par le bon rationnement, ral atlantique sont encore presque | Yaires: que l'on applique aux Céré- | Onnés gratuitemènt, il est de no- : préparation des sujets d’expesi- remplis des récoltes précédentes. Fe Sete à Ie Pi Sn ÉSE eue r Ïls ne sauraient recevoir plus qu’une ellement opie , Rporiations Al infirme partie de la récolte de cette | Festtere pour l'éleveur de PEst année. Par ailleurs, le Canada n'a!" rabais de $2.90 la tonne sur ces pour ainsi dire plus de marchés d’ex- achats. de ne que : éclame PEst po“tation pour ses céréales. Psnenle, cest qu es Le Tape ne Nous notions ici même, ces jours me traitement qui existe encore en;

travail, soit des techniciens agrico- ! à suivre concernant l'établissement les, des fermes ou stations expéri- ! de la comptabilité de votre ferme,

Nous savons tous que l'agricultur. : SYstème de drainage, rotation, fer- est de première importance dansitilisants, etc.

. ï ; F ! . a et qu'elle est la base | Comme dernière source de an industries ARENA: Au-i gnements, votre propre bibliothè- o1s RS moins d IMDOT-! que agricole, vous pouvez en tout

! | faveur d’un importateur européen | 210€ SU? la qualité et la disposition |temps à n'importe quelle heure du derniers, qu’il serait temps de re- : x x a des produit 1 ché, au-!: u

, existe pl , iues produits pour le marche, au ijour, la consulter. Souvent, il est! prendre, pour tenter de le mettre en| 1" "existe plus en tant qu'impor-; jourd’hui le consommateur exi n | imposi NORE FE | os ee broit évumis l'an: der tateur. J ateur EXIF UN | imposible d’avoir certains rensci- ; à

nier, devant un congrès d’agricul-

Î ité | : tele T M: MeDonatd-derianie encure. sue produit de bonne qualité et de belle ygnements, vu l'impossibilité de vous ! : l'apparence. : SET

teurs des cinq provinces de l'Est,|l'on organise, par voie d'eau, le P rendre à un bureau d'agronome ou sa ; ion- | transport des grains de l'Ouest de 12! par un agronome qui est fonction É ; ù os ; AD ENTRE maire au ministère québécois de l'A-| tête des Grands Lacs jusque dans mentales font chaque. année des ex-} P'oChe. Si LS AVEA RS" BIBHOLRES griculture, M. S. J. Chagnon. On|les ports des Maritimes. périences sur les -opérations de la} ue agricole, 1 SSL en effet que notre problème des C’est précisément ce que M. Cha- ferme, les fertilisants, la grande ques minutes y trouver les FENSCIE blés, s’il a été aggravé, et considéra-| non demandait aussi, il y a dix- culture, l’horticulture, l’industrie -' Enements désirés. Fe DURS né-! blement, par la guerre, existait an-| huit mois, pour le province de a le rationnement des ani-:Cessaires à la formation d'une bi-

térieurement, en temps. de paix. Le | bec et pour les provinces de l’Atlan. maux, l'apiculture, le contrôle des bliothèque vous sont fournis gratui- printemps dernier, quand M. Cha- tique. [maladies des plantes, enfin sur tout i tement Es tenants par le us gnon soumettait he projet, les agri-| Tout le long du Saint-Laurent, sur|ce qui intéresse le cultivateur. Ces tère de l'Agriculture, ÊTES adressant . cuiteurs de l'Ouest se, plaignaient | les deux rives, des quais qui ne ser- | résultats sont publiés sous forme de à la Section des Publications, Minis: | non seulement de la mévente de|vent pour ainsi dire jamais, qui

[onlieiins et circulaires afin de met-!tère de l’Agriculture, Ottawa. Vous: leurs céréales, mais de l’accumula-| n'ont été construits que pour empê-\tre le cultivateur au courant des pouvez encore vous procurer ces Re . « . La ns Û

tion dangeureuse des stocks, de leur Cher le ministère des Travaux pu- | meileures méthodes à suivre sur sa

Î

bulletins sur demande, à la station

blies. de tomber en chômage, der Lisez bien ces bulletins et | expérimentale la plus proche, la :

vraient être aménagés pour la récep- | circulaires, ils sont très importants : Uelle possède une certaine quanti-,

| : tion et la distribution des céréales | vous y trouverez une foule de ren-ité de ces bulletins.

Richesse d’alimentation ei! de l'Ouest à travers les campagnes | seignements pratiques. Le person: |

de fertilité | laurentiennes. ne : RÉPAde ee JETNeS GE StAHONS DO | plus importantes qui pour-; Pourquoi ne pas uttiliser au pays! La demande des Maritimes à Ot-|vent vous donner en tout temps les!

même, dans toute la mesure du pos- tawa devraient recevoir sans délai|renscignements sur les différentes

L , , 25 : PR

sible, les céréales produites dans |l’aPpui des agriculteurs québécois.

cultures de votre région. l'Ouest canadien? C’est là, en com- k / ; ,boré pourraient s'adresser à la sta-

primé, toute la proposition de M.|,. no ue Grass rane LA VALLEE TURNER PRODUIT 98e cms à ru mo

tation et de fertilité pouvait être dis- |

stagnation dans ces entrepôts que | l'on dénomment élévateurs. !

Vous trouverez plus bas les divi-:

raient servir de base dans la forma-:

tion d’une, bibliothèque. Ceux qui, désirent quelque chose de plus éla- | [3

province et dans les Provinces Ma-| ; ritimes, disait M. Chagnon, elle aide- | Den _. PU rait nos cultivateurs à produire du, La production de pétrole de FAlbeïta, en 1939, fut de 2—rndustrie animale meilleur ‘bétail et aussi à redonner à! ; 7,594,411 barils. Le :3—Grande culture nos terres leur fertilité surtout dans | |

4—Fertilisants : |

les régions de sol arable léger, ce] On produit du pétrole en quantités] Wainwright, brul lourd BONE Mubdiesdes plantes ct due stble qui comprend la grande partie de commerciales dans les provinces d’Al-| Divers 10.819 ; ane | notre province. L'utilisation des cé-|pe | i L : É nue |

p t S berta, d'Ontario, du Nouveau-Bruns | TOTAL 7.594411 ° G—Culture spéciale i

réales’ de l'Ouest canadien dans VEst Ljwick et les Territoires du Nord-Ouest. i | i

canadien signifierait non seulement! Le pétrole brut qu'on extrait des aif-| Les improtations de pétrole et. de! 7—Hortiéulture

un grand essor de l’industrie de l'é-! férentes régions varie d'un naphte!ses dérivés ont atteint. en 1939, une S—Apiculture L

levage mais une précieuse sous-pro- volatile à un bitume semi-solide. valeur de $55.913.177. La plus forte! 9 Floriculture.

duction en engrais, en fumure. : . st . |partie de ces importations représen-; Cette utilisation des céréales ca-! Be Naler- Tuner -SILuRe AU UC! taient l'achat de 1,298,319,166 gallons.

nadiennes au Canada ne peut toute- ouest de Calgary (Alberta), produit;

li È _ limpériaux de pétrole brut dont RÉQUE) | fois se produire que si les tarifs fer-;* PEU Prés 98 p.c. de tout ce que For lration devait se faire dans les raf- LA PRODUCTION DE PORCS AU Îde Morden qui couvre plus de 600! : extrait au Canada. Ce champ, qui | i

roviaires sont revisés complètement, ! {fineries canadiennes. Soixante-dix

établis sur de nouvelles bases, en sen nes ne See _ sept pour cent de ce pétrole brut ve-| fonction des besoins domestiques et se si Baz Le cr È dent gi nait des Etats-Unis; 8 pour cent, au! non plus en fonction d’un commer- gcetee AQNÉRS æ Sur È ane des Vénézuela, et 14 pour cent de la Co-: ce d’exp ortation qui à cessé d'être. C0Mmmença à produire du pétrole brut;

lité ï densité lombie. De petites quantités venaient! : Nos tarifs de transport pour les cé- : de haute qualité et d’une densité mo- äu Pérou, de Trinidad et de Tobago.! La produclion de porcs au Canada

réalés: de toutes sortes sont encore | Yenne de 43 degrés. On y à continué\ ii bortations de gazoline et de! en 1940 sera la plus considérable de ce qu'ils ont toujours été depuis que de travaux de DEÈr cs valeur RS naphte ont été de 109,021,177 gallons l'histoire. La production de porcs du nous avons ‘le rail transcontinentai | AU'à Maintenant, et à la fin de l'an. impériaux d'une valeur de .$7,998,336,| Printemps de 1940 surpasse de 39 p.c. et que l'Ouest s’est mis a la pratique] us 1938, 93 puits La DOUAI du} Gont plus de 85 pour cent venait des) Célle de 1939 et les fermiers rappor- d’un genre de culture unique. Il en pétrole brut et on en perçait 17 sr Etats-Unis, 7 pour cent de Trinidag| tent que le nombre de truies qui met- coûte beaucoup plus cher, le double, | t'es. On à terminé, au cours de l'ah- là, à obago, 7 pour cent du Pérou etltront bas à l'automne de 1940 aug-| x : cdi inée 1939, le forage de trente-cinq| : da : méntéra de 27 6e. L'aismeéntation: de: peut-être le triple, pour expédier un |" : É une faible quantité de l'Alaska. Le e2TE g -boisseau de grains de Winnipeg puits producteurs de pétrole brut| 0 4 à exporté en 1939 pour une! l& production de porcs au printemps. |

dans une campagne de l'est de l’On- dans la vallée TUREE et on en à 4-| jour de $848,558 d epétrole et de es a cu pour résultat de faire croitre de tario, de la province de Québec ou|Pandonné deux. A l'heure actuelle,| 137 p.c. le nombre de pores sur les fer-: des Provinces Maritimes que pour|ce Champ pétrolifère comprend deux mes au ler juin 1940. A cette date le e!zones productrices principales. La) Les ventes de gazoline au détail onti nombre de porcs sur les fermes est: | plus étendue se trouve dans le sud et} rendement d'une raffinerie qui sy] estimé à 5,882,000, chiffre le plus éle- elle mesure une longueur établie d’en-| {trouvait déjà. dans l’histoire. | viron six milles ete une largeur mco- RER RER yenne d'à peu près 1% mille. À en- : i i ] - nord se trouve LA PRODUCTION DE PETROLE DE; Vir0n 9 milles plus au nord se trouve! L'ALBERTA ‘EN 1939 une déuxième zone productrice, quil -: -.- : : [mesure à peu près trois milles de atteint au Canada en 1939 le chiffre| . = NEA 805 millions de gallons. ce; Longueur et qui, au cours de 1939, a Teen Re ation delété l'objet d'une attention de plus en QUI SRDIÉPENRE FURE ASSR x plus soutenue. C’est dans cette zone! 5,5 p. 100 sur celui de 1938. Bien que| de de la production potentielle de la ue

de Ho Ne .| ville no 2 qui, vers la fin de l'année Turner soif bien stpétieute % 8 PRO"! 139, était le meilleur producteur de

ë : , Yi 5 SHSUoE Den As ie vallée Turner. Malgré les sondages LATE ANS CEA ARE F | que l'on a fait au cours de l'année é-

i a. À la À e . brut et de era eue de ne dans la zone intérmédiaire de fin de 1989, le pri neuf milles, on n'a encore pu se pro-

liste pour la gazoline régulière, moins ie es : : noncer définitivement sur sa valeur

à allon im- |

la taxe, a été de 21 cents le & A éntiahe.

Bien que les travaux de forage aient

uné expédition du même point d départ jusque dans un port de Gran- de-Bretagne.

à Saint-Jean et à Hali- | Fou es | été maintenus durant toute l’année

® La production mondiale de pétrole | 1939 däns la vallée Turner, l'augmen- en 1939 a été estimée à 284 millions tation de la production réelle a de tonnes métriques. en regard de 278} la production potentielle du pétrole millions.de tonnes métriques en 1938.| brut n'y a pas été ss ab qu a Les principaux pays.producteurs sont 1987 et en 1938. La cause en _ à par ordre “d'importance: les Etats- être que le Hiptehe est restre n 4 Uhis, la Russie, le Vénézuela, l'Iran. | l'Alberta, à ln Saskatchewan ct à la! la Hollande, ‘l'Inde; la Roumanie, le| Païtie occidentale du Manitoba. Un: : autre événement important. de el : Fos a été l'augmentation de la capacité de en quinzième place dans l'ordre dt la Re de need ai aies on a construit une nouvelle raffi- D | nerie d'un rendement. de 5.000 barils "LONDRES. Le ministère de l'Aé-let a augmenté de 2,000 barils le} ronautigque anglaise mande que ses a- Vallée Turner, calcaire 17,547,€98 |. 5 " PRE Re de : : | ; vions ont atteint à plusieurs endroits! Vallée Turner, brut, peu | L’entraînement ‘des .aviateurs au Canada preud de plus en plus des ‘dépôts souterrains d'essence dans| profond ‘le poit de Kiel, en Allemagne. Red Coulée, brut léger ……

18,022} aspirant-pilote se préparant à monter avec Son instructeur.

£La Survivancé

Aux Fermiers

| LE CÜLTIVATEUR QUI VEUT RE. Vente à l'automne de 40,009 tropical, viennent bien sur les Prai- | rain d'essai |

mentales ou bien par la lecture des ila formation d'un bon troupeau lai- | économiquement pendant le premier : bulltins, circulaires et revues agri- itier en sélectionnant les mauvais |hiver au moyen de foin ct de quel.

Itre intérêt que vous réussissiez, : Üon, les opérations de votre ferme, | l'année suivante, comme brebis d‘un

Les fermes et stations expéri- à la station expérimentale la

vous pourriez en quel-i disait en partie ce qui suit:

[en y ajoutant quelques brebis à l’au-

CANADA MONTE DE 39 PC. =

un rachève la construction des écoles de Pair de l'empire établies ici. On voit sur cette photo un cause du temps clair et chaud. Bien

PA SSL TT RAGE 8

: LES FRUITS VIENNENT BIEN AU MANITOBA

Bien des gens seront surpris d'ap- | horticulture et en agriculture géné- HHPSHRE que les abricots, considérés | rale en 1916. Cette station de Mor- actuellement comme un fruit sous- | den est aujourd’hüi le principal ter- pour les variétés de rics canadiennes, ainsi que beau-!fruits introduites par le Service coup d'autres fruits. l’horticulture de la Ferme expèn-

Le dernier rapport de W. R: Les-! mentale centrale. Les expériences | conduites à Morden ont demontré

os

à 50,009 agnelles

De 40,000 à 50,000 agnoiles sor- | . ue tant des grands herbages seront of- : lie, régisseur .de la station expéri- | fertes en vente cet automne dans les | mentale fédérale de Morden, Mani-!

que la culture des fruits conduite provinces de Saskatchewan et r'Aï. | toba, devrait intéresser tout spécia- | ‘UF Une ÉCRCIlE pius qu moins: Himts

berta. Toutes celles qui pèsent dejlement ceux qui ne sont peut-être : LC Dert Be Sn ss cinquante à soixante-dix livres et qui | PAS au courant des progrès de l'in- | ne ROSE ne sont pas achetées pour la repro- | dustrie culture fruitière dans Jes!! "aires.

duction seront vendues à des nour- : Provinces des-Prairiex, Citons ici ce

risseurs, pour l’engraissement et l'a. | FAPPort: |

batage. Ce stock que l'on peut ache- | ter à un prix qui ne dépasse que lé-

“Jamais encore nous n'avons vu les arbres, les arbrisseaux et les vi- |

eue es à * *", gnes aussi chargés de fruits que cet- ! ærsource excellente de sujets |te année. Les pommicrs portent une

reproducteurs. On peut les nourrir | récolte abondante. 1l y a plusiours

centaines de variétés nommées qui. [Se composent de vicilles espèces, . Icomme les Duchesse, Hibernal ct: Wealthy, des introductions récentes comme les Melba et Haralson, et beaucoup de nouvelles, comme les! Beacon ct Mount. |

“Les pommeries ou pommicrs sau-

ques grains et elles sont prêtes à l'accouplement au commencement de

PARTOUT an. Ce sont pour la plupart des bre- Se bis de souche Rambouillet ou résul- ON PARLE DES tant des premiers croisements avec! des agneaux South down, ct Jlors- vages portent généralement des! qu’elles sont accouplées aux béliers | fruits à profusion, mais ils parais- | généralement vendus par les éle-! ont avoir dépassé la mesure cette | veurs de races pures, elles produi-' 6e. Lorsqu'un arbre est surchar- sent d'excellents agneaux de COn-‘ ré, les fruits ont une tendance à sommation. “rester petits et la vitalité de l’arbre

Le raport du comité sur les mou-.est soumise à une rude épreuve. La tons de la conférence fédérale-pro- :nouvelle race des pommetiers hy- vinciale tenu dernièrement à Ottawa brides Redvein offre un intérêt spé- ' cial; ces pommettes contiennent une | quantité énorme de pectine. Les poti-; iriers rapportent bien. Les cerisiers : jaigres, y compris le Dyehouse, po-- ‘tent une forte récolte. Les cerisiers | : * 20-:Nanking produisent en abondance, tomne de cette année. Ceux qui n'en comme d'habitude, et les cerisicrs :

gardent pas mais qui ont les facili- | des sables ct les cerisiers à grappes tés nécessaires d'alimentation et de sont aussi chargés. | logement, devraient se former un! petit troupeau afin de pouvoir ie) leur part pour satikfaire à la de- mande de laine”.

À Le MEILLEURE CIGARETTE , DE VIRGINIE AU CANADA

“II semble que les éleveurs qui gardent des moutons auraient tout avantage à renforcer leur troupeut

LE MARCHE

PRIX DU “WIIEAT BOARD”

“Les pruniers portent de bonnes :

récoltes de fruits qui sont bien ré-. . partis sur l'arbre. T1 y a même des:

Les + ,abricotiers. Les “Scout” sont char. ! se : . NC RE LR ne

gés. Tout fait prévoir que l'on ob-| d à No ARR Re

LES MARCHES LOCAUX tiendra une bonne provision de se-' +. ns Dai) Dieu S

|mence des abricotiers sauvageons | à à de. RO RE er, eo

Dans une crise nationale comme'de Sibérie et de Mandchourie. Les ! 2 NS 39%

I NET à : No 5 Nord 3312

celle que nous traversons, lPimpor- pêchers sauvages de Chine ont por-. ‘©,

| No 6 Nord 27

tance de certains travaux qui passe ité quelques fleurs, mais les prévi- : | ; : dinair ee NE : tt No CW. Garnct 4112 inaperçue en temps ordinaire se ré-, sions sont pauvres en ce qui cancer-, ;

= A . fee mt is È ; ë ; ? TER vèle de façon très claire. Le dévelop-ine les fruits. É | AVOINE pement des marchés intérieurs est | : No 2 C. W. - 14

un de ces travaux. Il faudra dans! ‘Les vignes sont moins vigoureu-. No3 C. W. PT ETES 1214 les années à venir que l’agriculture | °*S UC d'habitude, mais ou prévoit ! Fourrage No 1 see 12 canadienne étudie ues besoins des ; ne récolte passable. La vigne Ag Fourrage No 2... 18 : consommateurs canadiens et s'effor- | tinidia a porté ‘une grande quantité GORGE :

ce d'y répondre le plus possib'e, de fleurs ct il est pobable que de| No 1 C. W. Sao 1612 tandis que le peuple canadien de- "°Mbreux raisins müûriront. NO 2 Re Ne ie nn 161 vrait donner nettement sa préféren-| “Les ronces sont prolifiques. Les : No 3 C. W. 16 ce aux produits des formes et des, Sureaux portent une récolte de fai- ! SEIGLE ; : vergers du Canada. Si l'on sait pro-} ble à forte. Les fruits indigènes sont! No 2 C. W. 8... 23

fiter des progrès récemment accom-!très abondants. L LÉNOES CM ne TR 18 plis dans les systèmes d'entreposage, “Les groseilliers et les gadeliers] No 4 C.'W, 14 et de conservation, l’agriculture ca- produisent bien. La cueillette ac: BETAIL.

nadienne devrait pouvoir fournir lai framboises devrait être bonne si lai Bouvillens de choix

plupart des fruits et des légumes pluie est abondante en juillet. Le:1 Ordinaires

6.75 à 7.50 2.75 à 6.50

consommés au pays. :noyers ont donné une récolte record ! Génisses de choix 6.50 à 7.00 en 1939, et beaucoup d'arbres pro-| Ordinaires 5.50 à 6.25

:duisent encore bien cette année”! Vaches de choix 3.75 à 4.50

|. La station expérimentale fédérale Ordinaires 300 à 3bu

Taureaux 3.00 à 4.25

sacrées à ocntrepris des recherches en: Veaux de choix 1.50 à S.00

Cochons- pour bacôn nn 5)

Moutons d'un an 5.00

| ENTREFILETS PÉDIIE

À 22 : Le NO et nesnnne ee seat

L'augmentation de la production de La troisième prévision officielle) No 2... a 20

porcs en 1940 est la continuation de, des récoltes de l'Argentine pour Kan-! No 3 17. ae : à ice ss née 1939-40 donne les indications CREME

nn de do Le pe ue Se 17

tivement favorables pour les porcs” Blé, 119,452,000 boisseaux es No 1 . 15

pendant deux ans et l'abondance de: 11,000 boisseaux 1938-35) ; No 2 - 11 la provende à bas prix ont stimuté! Avoine, 56,581,000 boisseaux (47,| OEUFS

À F < -

l'élevage du porc. 1 335,000) ; | AT Anne Ue AT re Re _ 16

: Orge, 39,091,000 boisseaux (20, PR nl Te 2 10 à 12

Par suite de l'accroissement de 1a.209,000). Car oem rt 6 à 7

production, les arrivages atteindront re

de nouvelles cimes durant le reste de: cette annéc et lies premiers mois de. 1941. On s'attend à une augmentation | de plus de 40 p.c.

APERÇU SUR LES RECOLTES

Il s'est fait de bons progrès dans |sonnés, on ne s'attend pas que la , la moisson de la récolte de 1940 dans | coupe soit générale avant la semaine iles Prairies. Bien que Ice battage ait!prochaine. Quelques localités du été retardé au Manitoba par de for- nord de l'Alberta ont eu un peu de ! Les pluies vers le milieu de la semai- | gelée sans qu'il y ait de dommage ne, le temps idéal a hâté la Foupe Dour les champs et les jardins tan- et le battage en Saskatchewan et en dis que des régions adjacentes rap- Alberta. Au Manitoba la coupe tau- | portent des températures voisines iche à sa fin exceplé en quelques idu point de congélation. Les <aute- régions tardives. Le premier grain|relles continuent à migrer du sud- | à être battu se classe bien ct les |est vers de meilleures régions de cul- : rendements «sont un peu plus élevés | ture ct les mouches à scies ravagent | qu’on prévoyait. En Saskatchewan | encore Îles champs dans le sud. I] n'y environ 35 p.c. du blé a été coupéla pas cu de dommages dus à la ct dans le sud le battagè sera géné- igrêle cette semaine. Les pâturages iral vers la fin de cette semaine. Les ! sont généralement en bon état bien : sauterelles ont encore fait unpeu de ! qu'ils sèchent en certains endroits. . dommages. En Alberta le battagc!Le bétail est bien.

est bien en cours dans le sud et 1] ; ! coupe et le battage seront généraux EEE

i : } ! l

cette semaine. Les randements des

uromiers champs à âtr: battus sont} TURNU SEVERIN, Roumanie.—Li ‘très bons el le grain “2 classe no 7. Roumanie a informé la Hongrie que 1e La coupe cost bies conmimenvée dan: {projet de remetire à la Hongrie envi- ic district de Riviè-e-la-Pais. Il v a fron les deux tiers de la province-fron- ‘eu vu peu de goeifs ra certaines he [tière de Transylvanie esi entièrement ‘culités du nord de l'Alberta mais {inacceptable et ne saurait étre consi- jet a pas eu de dun ours aux 18:-1déré.

idins et aux champs.

17 Le temps a été idéal pour la mois- : ‘son la semaine dernière. Les rende-| NEW-YORK. .Alter-F, Chrysler, iments des premiers champs à être senior, manufacturier d'automobiles, ; battus sont très encourageants et'le | est décédé à sa maison de Great Neck |blé en général se classe no 1. Les|à Long 1sland, succombant à une hé-

x

d'amyleur à mesure que se pa-|récoltes. müûrissent rapidement à |morragie cérébrale, | 1 était 6gé de 65 ans et était ma- ladë depuis plus d'un an.

que certains champs aient élé mols-

CONFIR

L. fête paroissiale rem

Dimanche dernier, le 28 août, la paroisse St-Joseph de Fort Kent a- vait l'honneur de recevoir la visite de Son Excellence Mgr J. H. Mac- Donald, archevêque d'Edmontcon. Répondant à l'invitation de M. l’ab- Connoir, curé, Son Excelience bé- nissait le nouveau temple paroissial et conférait à plus de 45 enfants le sacrement de Confirmation:

La messe de Son Excellence, cé-

lébrée à 8 heures et à laquelle un- très grand nombre de communions

furent distribuées, marqua l’ouver- ture de ces fêtes. La chorale &es enfants, par quelques beaux canti- ques, ouvrit les âmes à la prière et au recueillement.

+ * *:

À 10 heures, Son Excellence pr&- sida aux prières liturgiques par les-

quelles l'Eglise catholique bénit ses |

temples. Simple, mais touchante cé- | rémonie, qui marque bien tout le; respect que nous devons avoir pouri la maison du Bon Dieu.

Durant la grand’messe qui suivit, Son Excellence prit place au trône, ni de ‘M. l’abbé Connoir, curé’

t du R. P. Henri Routhier, O. M. L: SRE ‘C'est un enfant de la paroisse, le R. P. Guy Michaud, O: M. 1, vicaire à St-Paul qui chanta cette grand'messe ayant comme di- acre et sous-diacre le P. Jean Pa- toine O. M. L. rédacteur à La Sur-i

SE. MGR. MACDONALD CONFERE AUSSI SACREMENT DE

. 4 é

MATION

remporte un succès

cia du magnifique travail accompli,| Départs. Ces jours derniers deux sous l’habile direction de M. l'abbé | jeunes filles de notre paroisse Mles Carmelle Joly :et-Aurore Tétreault,

Connoir et des bonnes Religieuses, | lière que ce temple ait pu'être cons- | disaient adieu à leurs parents et ä- [l

et exprima sa satisfaction particu- fidèles à l'appel, du. Divin Maître, truit en comptant presqu'exclusive- | mis et nous quittaient pour le novi- iment sur la bonne volonté des pa-|ciat des Soeurs de l’Assomption à roissiens. En terminant, il fit un | North Battleford, Sask. Nous leur raprochement entre le temple mate- | souhaitons bonheur et persévérance riel de l'église et le temple spirituel ! et espérons qu ’elles ne nous oublic- des âmes. rons pas dans leurs bonnes prières. * * *#

Un diner parcissial, tout comme | Dimanche, le 18 août, à la rési- le souper d'ailleurs, avait été pré-|dence de M. Zénon Roberge a eu lieu paré par les dames, dans Ja salle, une grande réunion de parents et paroissiale, tout récemment agran-! d'amis en l’honneur de M. et Mme die. Adrien Alain à l'occasion de leur

Toute la population et ses invités ! départ pour la Colombie Britanni- se transportèrent sur le terrain de que. La plus franche gaïété n’a ces-| jeux pour y assister à deux parties de règner parmi tous les invités ! ‘de balle-au-camp. La première futlet l’on ne se sépara qu'aux petites | disputée entre les équipes de Bon- heures. nyville et celle de Fort Kent. La! La famille Alain première équipe y remporta la pal-! | me de la victoire par 3 à 2. Lesj|pas sans regret que ñhous les avons | vainqueurs devaient se mesurer avec l’équipe du Lac Froid, malheureuse- ment une pluie assez violente vint mettre fin à cette seconde ct non moins intéressante partie, dès la ‘première manche.

Le clou de la journée ce fut: Je Etaient de passage : au presbytère programme qui devait avoir lieu, ie; la semaine deïnière: Le R. P. Renri! .A: l'issue du mariage, un banquet soir même. La salle paroïssiale Sent Routier. O. M. I.,Provincial des réunissait tous les invités à l'hôtel {plit de paroïssiens et de visiteurs, ; Oblats, les RR. PP. Guy Michaud ; Alberta. Invité à dire quelques mots, ! {pour assister à la soirée organisée | et Georges Tétreault, O. M. L ipar les Religieuses de Ste- Croix et Le R. P. Jean Patoine de “La;ses meilleurs voeux aux nouveaux ma-

z +

Récemment avait lieu en l'église de

Morinville le mariage de M. Georges iTurgeon et de Mile Julia Caouette.

dlemeurait ici

Inée par leur dévoué pasteur, Monsei-

ter, B. C. Nos meileurs voeux de je petit-fils de M. Cléophas Turgeon, bonheur et de succès les accomPa- | jun des pionniers de Morinville. La. gnent. | jeune épouse est la fille de M. ct Mme Timçthée, Caouette.

| |

i + #-

hoto prise à l’issuc du mariage des nouveaux époux Rue à Morinvilie.

MARIAGE TURGEON. CAQUETTÉ |

Il est célébré à Morinville par Mgr Pilon

| depuis plusieurs années et ce n estipa bénédiction nuptiale leur fut don-;

vus s'éloigner de nous. Ils demeu-! eur pilon. Monsieur Turgeon est le| reront désormais à New Westmins- fils de M. et Mme Louis Turgeon, et;

d. Schaffers, M. et Mme G: Sos) De 2 Co à el le R. P. Tétreault avaient pris place |

Eve Jean-Baptiste Boulanger présenta.

MERCREDI, LE 28 AOUT 1940

——

HISTOIRE DE VIMY

ÎLes origines. -de: la païoisse: isse: 1900. Visite à la “Butte” ; surnommée Edison. Monseigneur Legal, OM. | | et les premiers colons

+

L'histoire ce district, appelé l'environnent: En 1900 que nous d’abord Dunrobin, et maintenant Vi- prenons comme point de: dénart, au- my, est intimement liée, dans ses|cune lighe dé-chemin de fer v’al- origines, celle: des : “districts” qui|lait au-delà de ‘Morinville. A l'au-

: : tomne de 1900, les trains au nord de "j Morinville furent arpentés par les agents du gouvernement en vue de la. colonisation, et quelques hommes commençèrent à les visiter en qua- l'ilités de “squatters”. (On appelle squatter celui que s'établit sue ure terre qui ne lui appartient pas en- j core.)

Parmi les premiers colons men- tionnons Louis Laägassé, Achille Fortier, Israel Fortier et quelques

Mardi le 27 août 1940, dans l’é- glise de Falher Mlle Irène Ethier convolait en juste noce avec M. Jo- autres qui se réndirent jusqu'à la | seph Larochelle employé de la mis- rivière Pembina. Îl va sans dira que sion du Lac Esturgeon. M. Jean La-|ce voyage s'effectua dans des con- rochelle et Mme feu Frs-Xavier E-|ditions pénibles: manque de chemins FREE servaient de témoins. M. Gé-iou plutôt de “trails”, qui n'étaient

lrard Brulotte et Mlle Simonne E- | sés, difficultés de toutes sortes. Les

thier étaient respectivement garçon | le plus souvent que des fondrières,

couronne de mariéc” et fille d'honneur. ltroubles. des campements improvi- M. ct Mme Turgeon demeureront| Des solos ont été. exécutés durant | “squatters” bravèrent tout sans

à Morinville. Parmi Jes invités qui la sainte messe par MM. Gérard Pons

ont pris part à cette fête de famille, Proulx, Oliva Landry et Eudore

on remaïrquait: Daoûst

dons. de Dieu, et qui sont en même! jécmps les plus beaux joyaux de la

Ce fut la région qui est mairte- A nant le district territorial de West- lock qui retint leur attention Le

ont relevé l'éclat de ectte cérémonie | terrain y étant sensiblement pl

par leur présence. Le R. P. Nadeau us é- curé de .Girouxville, le R. P. Four- ou de nn. nier supérieur du Lac Esturgeon et! let le fond s man or. . sur cette. butte (qui devait plus tard s'appeler Edison) et dans les environs, que les colons établirent leurs “claims” en tirant sur chaque

M. et Mme L. Turgeon,. M. ct Mme ;: T. Caouette, M. et tMme KR. De Ton- | nancourt, M. et Mme E. L'abbé, M. et! | Mmé Raymond” Robert, M. et Mme

| dans le sanctuaire. Les nouveaux mariés sont partis au cours de l’avant-midi en voyage.

Lib. Caouette, M. et Mme'H: Théber- | ge, M. et Mme G. Günñs, M. et Mme! ‘À. Williams, M. et Mme ‘N. Turgeon,

vivance et M. l'abbé Burke, curé de. Vegreville. La chorale composée ex- | clusivement d'hommes exécuta unc' belle messe en grégorien.

Au prône M. le curé exprima à: Son Excellence Monseigneur l’Ar-

ÎM. et » J. Anderson, M et Miel de noce, vers Grande-Prairie.

Pass tnneee Nobert, F . a dure Rde. M. et Mme F. Nobert, M. et Mme!

amour, les. trois ranës | |

| g PêS| D. Cochin, M. ét e L Letour- Soeur Ursuline de Jésus, d'Edmon- Ineau, M. et Mme G. Ethier. M. et | Mme C. Charest, M. et Mme G. Ri- |vet, M. et Mme W. Beaupré, M. C.

| Tu rgeon, Mme R. De Tonnancourt, ! M. À. Turgeon, M. A. L'abbé, M. P.-E.

BELLES CEREMONIES RELIGIEUSES À MORINVILLE abbé, M. A. Moure, M. J.-B. Bou-

‘La série de nos mariages s'est. Re dans v'église même et le ærand ban M G. e ontencourt M. R. Les soeurs de Ste-Croix de Falher Plir alors comme colons ‘réguiiers. encore allongée au cours des dér- | publie : fut admis. Pour plusieur "5 Ce De Tonnancourt, M. L De:Tonnan-| 0nt:reçu une nouvelle supérieure [TS n’y revinrent pas tous. Plusieurs nières éémaines et nous comptons. fut une révélation et combien toù-i out, M. Roch De Tonnancourt, M. | Soeur Marie de Sainte-Germaine. n'ayant bas présenté lèurs réclama- | deux couples d’heureux depuis notre | chante!“Aussi -plus--d’une - paupière |}; üé Turgeon,. M. Geo. Caouette, M.\ Cette religieuse distinguée a eu tions en temps opportun, se vient jté fédéral se fit l'interprète des in- | dernière correspondance. Aïnsi ie. 19 !'se mouilla en, voyant ces religierse8 ! R. Nobert, de R. Ethier, M. P.. Tur-| l'honneur de fonder les missions du | Supplantés par des colons venus de vités en, félicitant la population de: août M. Harvé Arbour conduisait prosternées sur parvis ‘du tease, loco Mlle E. Turgeon, Mile B. Mau- Bengale pour sa congrégation. EttellEst qui firent application dès la St-Joseph de l'esprit d'union dont je Eulalie Rivet aux pieds des au- ‘alors que le célébrant implorait les le, Mile B. M. Landry, Mlle M.-A. | répandra parmi les enfants de notre | Première reure l'agence des Ter- elle a toujours fait preuve, union qu tels et le’ léndemain M. Anselme Bé- : 4 -ymérs técole-l'esprit- missionnaire. res mit les lots à la disposition de

( Jeur a.permis et leur permettra en-|\;,,4 on faisait autant de Mlle Ger- grâces d'en -haut sur les victimes, Caouétte: Mie -C* L'abbé: ‘Mie’ E. BURN ES RO Rem nie seule Colonisation. maine Gauthier. Les deux mariages Notre . paroisse comptait. un -cnfani L'abbé, Mile S. L'abbé ‘Mile T2 Schaf- |. : |

core de progresser. -dans-la personne: de:Soeur Maxume, fers, Mlle A. Nobert, Müe:M:.Gochlin

lot, un sillon de charrue; de plus ils inscrivirent leurs noms sur des | planchettes qu'ils fixèrent à des er- |bres. : p

;leurs élèves. Survivance” est aussi venu passer Lriés ct termina en leur souhaitant de: ‘Le drame exécuté par Îles jeunes | quelques jours de vacances parmi Conserver toujours “la benuté, l’es-

filles de l’école paroissiale fut par- nous. - pérance: et -l

iticulièrement apprécié. L’excellente

icompréhension que les acteurs a-! chevêque les sentiments à 'affection | Vaient de leur rôle respectif, l'exé- ct de reconnaissance de tous ses pa-| cution très soigné qu’ils en donnè- roissiens. Puis il loua fort à proposent, le colori et la belle apparence le. dévouement des paroissiens de | des costumes, tout tes DÉRNEE St-Joseph, qui non séulement ont | d'acorder d'emblée one parfait”. acepté'de payer de leur argent, mais !: Een soirée était” . agrémentée qui ont voulu payer de leur per- | d’une comédie, de morcéaux de mu- sonne en construisant de leurs pro-|sique et. de quelques chants. :. pres mains ce temple qui deviendra M: Joseph Miville Déchène, dépu-! lorsqu'il sera complètement terminé, l'un des plus beaux du ‘diocèse.

Le sermon de circonstance fut. donné par le R. P. Henri Routhier, O:.M. I. Il commenta: ce: texte que l'on retrouve au Troisième livre des

. Rois: “Et le Seigneur lui dit: J'ai cxgucé ta prière et tes supplications |

à ;

ton. Cette religieuse est la soeur de: Mme Chants: Ces dispogitions prises, nos gens + + *% s'en retournèrent à St-Albert, Mo-

Mile Marcelle Bugeaud quittaitirinville ou Edmonton, attendant que Faïher mardi soir pour aller ensei-les nouvelles terres arpentées qu'ils gner à Beaumont. venaient de visiter fussent nusus + +. Îsur le marché pour venir s’y éta-

saints du ciel de faire: descendre les | Turgéon, “ie Le "LÉO TEAU

D'rtaus

: Toutes. les soeurs. ‘de ‘Ste- Croix ‘sont : de’. retour de leurs tournées missionnaires :dans le Vicariat elles ont enseigné avec beaucoup de

4 succès le catéchisme. -|mile Legal, O0. M. I, évêque de St-

k % *% Albert, le curé Jolicoeur de Mori < in- - MEXICO. Léon Trotsky, le révo-| Mme Frank Gagnon est à Edmon-! ville, le curé O’Kuyssen, de la Ri-

lutionnaire russe exilé, a été attaqué ton depuis quelque temps sous les |vière- Qui-Barre, et quelques auèrer. et tué avec une hache à pic dans le) traitements de quelques spécialistes. | C'était en juillet 1901.

Le R. P. Routhier ajouta quelques 4,554 solennels et un grand nonibre

mot is ME 1e caxé Connoir réiéts parents et: d’a amis s'étaient ren! ‘autrefois Mlle Tarcierine Boisson- | sr 5. Rivet, Mie M. De is

que tu as faites devant moi: j'ai, dus à l'église pour l’occasion. Nous : neault. En la considérant faire l’of- !

sanctifié cette maison que tu as|è ses chers’ DRroESenS Je suis! icons les meilleuïs voeux pour ces ‘frande d'elle-même au Maîtr: des

bâtie afin que j'y établisse moi Content de vous” furent ses derniè- Liéenés couples qui commencent ‘lans! Maîtres, notre pensée se portait |

nom à jamais; et mes yeux et du Dee paroles. jle chemin de la vié: Puisse ceila-ci vers le père qui ge là-haut devait

coeur seront tous les jours.’ | En plus des visiteurs déjà men- jêtre plutôt rose et rémplie de bon-; suivre la cérémonie. Il aurait été si + + *# tionnés signalons la présence de M. |heur. heureux de le faire sur cette terre

Un deuxième parti. d'expidrat: ur vint visiter la “Butte”. Ce parti comprenait, en plus de quelques co- lons déjà nommés, Monseigneur E-

| court.

+ + +

Après la messe, eut lieu la céré- jrabbé Lapointe, curé de Bonnyville, | de M. l'abbé Campeau, curé de Bros- seau, de M. l’abbé Ricard, vicaire à Quelques: jours auparavant nous Bonnyville du R. P. Lavallée, O. M. jassistions à une autre cérémonie, M. Siméon Langlois et M. Gau- 1, curé du Lac Froid et du R. P.lc'était celle des derniers voeux Ge; Mot avaient aussi un enfant qui iThomas Pelletier, O. M. I., mission- six religieuses qui se donnaient à! prononçait les derniers voeux et ils |naire à LeGoff.. | Dieu pour toujours: Il est inutil2 de! sont venus avec toutes leurs fumil- Au curé de St-Joseph, comme à | dire que cette dernière fut très i- | les. Pour comble de joie, ils avaienw ous ses paroissiens, la “Survivan-| posante, étant présidée par Son Ex- ile plaisir de recevoir une courte vi- ce’ est heureuse d'offrir ses plus

chaleureuses félécitations. Un témoin.

monie de la Confirmation des en- fants. Puis Son Excellence donna quelques conseils paternels aux nou-

veaux confirmés ainsi qu’à leurs pa-: :

rents. Ii tint à affirmer hautement

sa joie et sa consolation de se re-! trouver au milieu de-la si bonne po-! pulation de St-Joseph. Il: les reme--

Une bonne pluie rafraichissante et bienfaisante est venue arroser la ré- gion dimanche après-midi. Notre district a souffert de sécheresse cet-| te année. Quoique trop tard pour u- ne grande partie de la récolte ‘il en résultera encore beaucoup de bien.

*k % %

* Nous apprenons la mort de’ Geor- ge Stover de Mallaig. Le malheu- reux s’est suicidé en se pendant dans sa grange dimanche matin.

: x ve #

M. 3. M. Déchène M. P. est de re-|mejlier étaient content de la revoir. | M. Siméon Langlois qui finalement tour d'Ottawa depuis quelques jours. | Chacun se souvient en effet avec|en fit l'acquisition.

Notre député est très occupé depuis son retour dans l'intérêt de son com- té. Il est heureux de revoir les amis et s'attend d'être rappelé à l’au- tomne. M. André Déchène, son fils, avocat a ouvert un”bureau à Bon- nyviile, et se dit très encouragé. L'inscription nationale s'est effec- tuée d’une manière aussi complète que possible dans notre région. jes cartes bilingues que nous avons eues ainsi que toutes les instruetions ‘en français ont plu aux gens et ont aus- si aidé à répondre plus clairement aux questions nombreuses posées à nos gens. Les officiers suivants 6- taient employés au burea1 d'inserip- tion. Phs Durocher, F. A. Galar- neau, Mme Donahue, Paul Sabourin, Maurice Sabourin, Mme André Dé- chéne, Hervé Turcotte, Lionel Lan- dreville, Oscar Vilandré et l'abbé ‘Alcide Ricard. 696 _personnes se sont inscrites dans’ la division de Bonny- ville, dont: 81 célibataires âgés entre 19: et ‘45 ans. : Tous ont FÉROnQU à l'appel. ;

et nous ne doutons pas qu'il ne fût présent. du haut du ciel.

bureau de sa résidence à Coyoacan,| Nous souhaitons à Mme Gagnon un près d'ici. PA rétablissement.

PIQUE NIQUE DES CANADIENS DE LOS ANGELES

L'Evêque avait fait application auprès du Gouvernement pour ob- | tenir une portion ‘de’ terrain, (40 jacres), pour fins religieuses sur la ee qui paraissait alors le site le plus avantageux d’un centre ca-

| |

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I

|

Notre soirée du 25 août vient s’a- jouter aux nombreux succès remp0t- tés par lorganisation de nos dé- vouées Dames d'autel. Il y avait une bonne assistance et des visiteurs { d'Edmonton; de Legal et de Gibbons. { Le Rév. P. Breton 0. m. i. et le Rév. jP. Gobeil o. m. i. nous ont honoré ce [JU présence. Notre député provia1- icial,. M. Lionel Tellier était aussi lau milieu de nous accompagné de son épouse. Tous les gens du dis- trict Paradis et les amis de Mine

plaisir de son trop court séjour à! Lamoureux lorsäu’elle enseignait à l'école Paradis. On joua aux cartes jusque vers dix heures: Les prix des Dames donnés par Mmes Gordon Laä- chapelle, Edmond Noël et Denis Campeau furent gagnés par Milles Eva Paradis, Jeannétte Lepage et Mathilde Langlois. Les prix des hommes offerts par Adélard Gau- mont, Emile Normandeau et Pierre Bélair furent remportés par MM. Eplrem Doucette, Adélard Gaumont et Siméon Royer: Un prix spécial, offert séance teriante par ‘M. Lionel Tellier fut tiré au sort par les vain- queurs aux -cartes. La moitié fut at- tribuéé’ à M. Adélard Gaumont ct: l'autre moitié à Mlle Jeannette Le- page. Le prix d’entrée donné par Mme. Enoch Lepage échut à Mlle Mme. Eroch Lepage échut. à M. Al- cide Gaumont. La raffles ‘quatre piè- ces de. un dollar en argent donnée. par M. Ovide Boisjoli fut: distribuée à MM. Jean Normandeau, Zéphir Normandeau, Lionel Tellier et Lu-

D re ne

BELLE SOIREE A LAMOUREUX

k = |

‘Teien Langlois, Le clou de la. soirée eutué calibre 45,

cellence Mgr McDonald d'Edmonton | {site de la part de leurs enfants reli- |. | Comme les professes étaient assez gieuses avant qu’elles ne reto;rna

nombreuses, 1 SAONE se dé'ou !{ dans leur champ de travail. -

x

Ajoutons enfin que M. et Mme ‘Ephrem Rousseau avaient !la bon- ‘heur. de revoir leur fille, nonvelle religieuse de deux “semaines, ven- fut sans aucun dite la vente à | dredi le 16. Soeur Marie Ephrem est l’encan chinois d'un petit goret done nommée pour le Lac la Bicne »à elle par M. Joseph McPike. Cette enseignerà désormais. vente fut conduite de façon experte] Pouvons-nous ajoute” que aian- par le Rév. P. Breton et rapporta i che dernier une nouve‘le recrus peur une jolie somme. Detail intéressant c'est le Rév. P. Gobeil qui fut le|nous laissait pour le novic-ut tie gagnant. Mais comme le Rév. Père|Trois-Rivières, nous. voulons dire avait reçu déjà de nombreux sujets Mile Alice Trottier. Ëlle est partie à quatre pattes pour prix d’abonne-! contente et joyeuse comme une per- ment à la Survivance, il fit cadeau | sonne qui voit se réaliser le rêve de du petit goret à M. le Curé, qui ces vie. Nous -offrons nos féliciti- remit immédiatement en vente. C’est ltions et nes meilleurs souhaits : Ë ta \mouvelle postulante. Elle à su choi- sir la meilleure part. :

M. L'AVI

Leba

La veillée se termina par un pe- tit concert donné par les frères Ja- cob, Lucien Desrosiers et Marie Claire Desrosiers.

Un grand merci, à tous ceux qui ont-contribué au succès de cette sol-} rée et particulièrement à nos Dames d'autel qui en ces occasions se dé- pensent:sans.compter.….

Le 1 août: deinier, Bonnyville | voyait s'ouvrir. une nouvelle étude légale: celle de. M. lavocat André À Miville Dechene:

n TM. André Miville Dechene est-né

"OTTAWA. = Nos troupiers seront| à Edmonton le 25 janvier. 1912. n munis désormais de revolvers de ca-|appartiéènt à urié ‘faniille ‘bien: connue libre 38 afin de remplacer ceux du'ca-| dans notre région. Son père, M. J. libre 45 dont ils”étatent. auparavant) Miville Dechene, député au Fédéral, arrnés. Ce changement d'armes s’cf-|a vécu parmi nous. péndant. plus de fectue afin d'uniformiser ñotre .équi- 50 ans et fut il y après de trénte pement militaire de façon à ce qu'il|ans président de: la: Société St-Jean s'harmonise parfaitement avec celui ‘Baptiste d'Edmonton. La famille Mi- de l'infanterie. ‘britannique: Lors ‘de. Ja ville Dechene,' ‘depuis”1896, a: aussi dernière guerre les” réservistes cana:| donné: ‘à Ottawa: deux’: députés: un diens devaient” ac eter leur. revolver sénateurs un iinistre ‘dé VAgricül- Mais cette arme leûr” est maintenant ture à ‘Québec: : : fournie . par: la Défense ‘nationale. M. André illé: ‘De êne, qui: ou- C'est ce dernier minis stère qui. vient. vre sa ‘carrière à ‘Bonnyville, a:fait. ‘d annoncer que le calibre 38'sera Sub- | ses études primaires à l’école Gran-|

et à. Morinille, ‘à ‘Thétien puis à!

Notre ‘pique-nique a dei

| çais du 11 de ce mois fût un succès,

un très grand succès. Plus de 500 ‘canadiens y étaient. On est porté à

la communauté des Filles de Jésus |

CAT À. M. DECHENE

1 S rétablit à à Bonnyvillé. ART carr ière. Sa famille.

croire que dans une ville éloignée et ‘étrangère que chaque nationalité “est portée à se rassembler’ Pas ici, à Los Angeles, du moins, moirs qu'ailleurs. Et surtout les canadiens | qui sont les plus américanisés. Nous ! demeuront tous si loin, les uns des autres, et nous n'avons pas de 'pa- roïissé.à nous pour nous ramasser chaque dimanche. Donc, réunir 500 canadiens ici à Los Angeles, est un évènement. Aux premiers temps, c’é- ltait plus facile; les canadiens é- \taient plus fraîchement arrivés. Au- | jourd’hui, ce sont les plus jeunes, é- | levés ici, qui conduisent. Nous som- mes rendus qu’à ‘peine les enfants -ont-ils -deux ans:-qu ls conduisent

St-Paur. Collège des Jésuites, en 1982, il alla suivre les cours de Droit à l'Uni- versité. d’Alberta et en sortait en 1989. Après. une anñée passée à l'é- tude légale Griesbach, O'Connor et

par le Juge: en Che: Horace. Harvey. Ce fut M. Georges B.'0 Gonnor qui le présenta.

gure bien. coñnue. en divers cercles. | Ilfut. président du. Club de Droit

et, a pris: “part à

universitaires: : : est: actuellement |

| =

“Nos: meilleurs voeux de. succès” à! Pie Miville Dethene:. ar

temps de son discours, M. Nan. Bis-

‘ex-société de Si-Joan Baotiste,

See de terminées. av}

| O'Connor, il était, ‘admis au Barreaü:| -

Le nouvel ivocat. ‘est déjà. une: fi- | l'Université, - pour ‘l’année 1938-1989 | ns : “plusieurs débats |

vice-président . de: J’Association. des LE. Anciens “Elèves: “des “Jésuites: à |

tholique. De là, aussi, le coup d'oeil “ae des plus pittoresques: cette é- e # tout, Le plus gros pique-nique ca- nd ee nadien-français connût à Los Ange-| Gant un assez vaste tertitoire. Des $ 2- 40 acres octroyés à la Corporation Episcopale de St-Albert, 5 furens lexempts taxes, devant servir corhme emplacement d’une église et d'un cimetière. M. Louis Lagassé s'offrit à prendre la balance du lot soit 120 acres au lieu de 160 qui é- . tait la mesure régulière. Avant de s'éloigner, l’Evêque. fit ériger une croix qu’il bénit lui-mêre. Cette croix était l'oeuvre de M: Altec | Fortier. Æt l’on décida l'étanlisse- ment d’une chapelle-en ce lieu connu sous le nom de la “Butté”, puis de "La Le Prairie”, et EDR “Edi- son”?

les-serait celui de 1924, nous é- tions 1800 personnes. À notre dér- nier pique-nique, du 11, les avocats | Thomasset et Audet nous parlèrent, | ainsi que le Rév. Père Jules Tru-! deau, ét le président de la Colonic Suisse-Romande, ‘M. °G -Moacl:on.! Un: prix de $2. fut donné à M. KE. Le Pire qui dévinaà 780 pou: T31 fè- ves qu'un vaisseau conteuait: J'ai encore mal au pouce d’avoir aidé

couper 45 verges de rubañs en pe- üts bouts pour les bortonnières, Mme J. B. Godbout aussi. l'out Je

sonnette, ancien président de notre | per-t an ses dents jusqu’à s'impuatienter tellement qu’il les mit dons sa po- cie, et Sans gêne. Les grands gens ne se laissent pas dérars:r pur les petits détails.

.. (à. suivre).

NS

Monsieur Germain Leblanc du Pa- triote de ‘l'Ouest; ‘Prince-Aïbert, Sask., et sa dame sont venus passer deux semaines ‘de vacances chez leur parents et amis à St-Albert, Villeneuve et Edmonton. Jeudi der- nier monsieur Leblanc visita les . rbureaux :de la Survivance.

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/ Edmonton, angle 98e rue, 108e avt hé” FAR PENSIONNAT BILINGUE et affilé à l'Université Laval de Québec

Re. Thibaurleau.

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VICHY, ‘France. Des ouvriers cherchent encore des obus qui n’ont pas fait explosion, âu raccordement ‘de chemin de fer de Miramas, - près de “Marseille, un train de muni- tions sauta le 5 août.

se ‘en: français: 1ère añnée- à le ‘12ème ‘année inciusivement Cours anglais: iér' grade au: 12ème grade inciusitement n “Fine Conservatoire de: Toronto.

ss ‘Economie domestique.

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MERCREDI, - LE -

JUSTICE ET CHARIT

Base de franche coopération:

Les vertus de justice et de charité sont le base de toute franche coo- | pération. É

8 AOÛT 1940

mm à

l

donnera à ces institutions d'aide mu- | tuelle une solidité de tout repos. Tel est l'enseibnement de Pie XI; tete est la doctrine sociale de l'Eglise: tel est le précepte du Christ: “Quand ! je posséderais tous les biens, si je! n'ai pâs la charité, tout cela ne me; sert de rien” disait saint Paul.

Si vous voulez faire une éxpé- .tience personnelle de cet avancé, posez la question suivante devant un groûpe de cultivateurs ou d'ouvri- ers: Qu'entendez-vous recevoir de ve- tre organisation coopérative”? Infail-

liblement vous recevrez cette répon- | quelque sorte un organisme humain; | ‘et chacun

se: “Nous voulons obtenir plus de de ces organismes est; justice”. Cependant cette réponse composé d'individus avec tout leur i n'est qu'un résumé, qu’une généra- | bagage de prétentions, d'aspirations, | lisation du pourquoi de leur union; de susceptibilités, d’amour-propre et car vous entendez des explications | là, comme conséquence, sujet aux! qui développeront davantage le but! jalousies, aux rancunes, aux diseus- | poursuivi. Je choisis, entre plusieurs, | sions acerbes et à la formation de] quelques ärguments qui courent sur |iélanee en un mot ces organismes | tes lèvres des coopérateurs: “Nous/[humains portent dans leur seins: nous unissons parce que nous vou- | deux défauts bien communs à tous lons que nos droits soient respectés; | les hommes c’est-à-dire, l'esprit d'in-! parce que nous désirons être recon- | dividualisme et d’égoïsme. i nus comme faisant partie du grand!

Imaginez, pour un instant, une s0-| tout que forme la collectivité; étant | ciété coopérative parfaitement orga-| donné qu’individuellement nous SOM- | nisée: l'esprit de justice fait que mes ni plus ni moïîns que des quan-léotte dernière actuiert tous sesl tités négligeables; enfin nous nous | Groits pour le bénéfice de “sa collec- unissons parce que, de ce fait, nous | tivité” d'abord et ensuite pour cha-

serons davantage les adminisira- | cun des membres qui la composent, | teurs de nos biens et moins 168 |en remettant à tous, individuelle-| jouets de la spéculation.” ment, la part de l'héritage conquis. | Comme conséquence l'on s’unit, | En un mot le droit de tous et de

lon coopère pour que la justice in-ichacun a été respecté et reconnu.

tervienne et établisse plus parfaite- | Mais comment se fait-il que des sen- ment l'ordre dans l'organisme -so-l{iments de discorde percent déjà l'ho-} cial; l’on se forme encore en coopé- | rizon de la, bonne entente? Lai

ration, par moyen de syndicats ou: vertu de justice pourra-t-elle, seule, de sociétés, afin que premièrement, ; retenir certaines prétentions dange- la profession ou le métier du groupe ; reuses et propres à donner la mort ait son statut propre permettant à une institution de première impor-, ainsi à chaque classe organisée de |tance? Je ne le crois pas. i régir, de surveiller elle-même, dans| “L’accord des volontés”, par l'ac-| ses ‘cadres bien définis, les activités : ceptation généreuse et volontaire! de sa corporation; et, deuxièmement, ; d’une discipline établie et fixée dans afin que les membres d’une corpo- | des règlements, la soumission à lau-, ration coopérative obtiennent de par | torité librement choisie, se fera uni- leur organisme tous les privilège! ment par la vertu de charité, vertu | qu’ils ont droit de recevoir selon ! de renoncement et de sacrifices. l'apport individuel donné au bénéfice} La charité fera done aimer les, du pays, de la provinee et de la ré- oeuvres de la justice. gion qu’ils habitent. Ces principes posés, nous admet-| Voilà, également une formule, une } tons facilement: que toute coopéra-| méthode propre “à favoriser la paix tion devient stable et viable en au-| et l'entraide parmi les hommes.” ‘tant que les vertus de justice et de | (Pie XI) Pas un de nous ne peut {charité sont à la coopération ce que! s'empêcher de réclamer, d'insiste: : les soliveaux sont au plancher d’un pour que chaque classe de la société, | édifice. chaque catégorie d'individus s'orga- J. Augustin FORTIN nise en association professionnelle, | (Le Progrès du: Saguenay) i même au prix des plus grands sacri- | | fices d'intérêts personnels. Cependant si l’obtention d'une jus- | tice parfaitement méritée est à la ; base de toute association coopérati- | ve, il y a, par ailleurs, un autre é-! lément essentiel à la réussite de tels ;

vertu de Charité, ce lien “spirituel” |

qui fera “le rapprochement des ue) : i t

: &s et l'union des coeurs”, qui | lontés et Les lecteurs de la ‘Survivance”

ont sans doute lu dans ie passé des ichroniques de Breynat. Après 6 ans; : He d'essai il nous est force de conciure

Voyage Aubaine jaue nous avons un des mreillears : CS | centre de colonisation. Pour tous 77 dans. [ceux qui veulent améliorer leur con-

DA = à |dition. Nous nous permettrons de ei- V'EST Ül [ter quelques avantages de nstre

; ; . | district. : | TE À | Situé à 50 milles du Lac La Bi- \ ] * [che ou à 30 milles au Nord de Pla- ; CAN AD À kmonüdon Breynat possède depuis 5;

Ne jannées son église et son curé rési- 13 au 27 sep.

| dent. En plus de quatre écr.es nous | : ‘avons aussi dans la paroisse quatre Limite du retour: 45 jours magasins, trois moulins à scie ali- Nues rte mentés par des forêts assez rappro- ee 2 a nitobe et œon- ||chées du centre. Il ne fardrait pas | tario (Port Arthur, Armstrong et l'oublier aussi notre garde malade. ! ouest) à toute station dans l'Est || Nommée par le Gouverneinent Pro-| du Canada EN Arthur, Aïm- || vincial, elle arrivait ici en janvier. strong et est). Ê ; au tant! Arrêts facultatifs à toute station PS : ; Prix réduits également de l'Est || Ljement chez noue. - K Foret nos d Il est juste de mentionner nrtre Te rca ct con. . | fromagerie. L'industrie laitière qui Fort __ ‘Trains climatisés sur tou- || commence trouve son débouché nat- tes les lignes. | mal dans la fromagerie établie au @Excèllents repas aux prix m9- || village. Cest encore une source ce! here ur ea - revenu important durant le temps tre siège Airis les wagons touris- les revenus ordinaires de la ferme les wagons”dortoirs. * {sont diminués par les gros travaux! informations de votre agent. de l'été. W729550 La rivière Wondering et son af- fluent qui viennent du nord pour

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vint moins un oeil. C'est bien de va-

i infirme. Nous lui offrons nos sym- pathies bien sincères.

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dérange beaucoup. & + * M. et Mme. Wilfrid R lles heureux parents d'üne petite fil- Fr [le. l'. * =

4

Le ‘chez sa mère Mme Alfred Dubord. Dimanche le 25 la clos = + = e bonnes et mauvaises nouvelles,

nous antionce l'arrivée de notre cu! 1€® familles Lambert et M, Ar

rions son arrivée; enfin le: grand, Pa" Jasper, Ils furent enchantés de (le

jour est arrivé et' c’est avec joie que: leur voyage. nous lui souhaitons 1x hienvente.

Nous espérons. qu'il se plaira parmi

ous.

î + # + i Î M. Thomas Mercier de Viking é- itait en tournée d'affaire à Venu- O*% *% Un aceident qui aurait pu avoir M, Joseph St-Tacques. des suites bien plus graves est ar-: + + + rivé à M; William Hérard alors qu'il] était à couper du grain JIlitravail-! À pronos d'enregistrement, ici lait en avant de sa machine lorsque | comme aileurs nous n'avons pas eu les chevaux partirent lui enfonçant : de formule bilingue, je me demande une garde dans la euisse, coupant avant vu de ces formules au bureau nerfs et muscle et refoulant jusque de poste, pourquoi elle n'ont pas dans la hanche. M. Joseph Desaul- | toutes été faites bilingues, ça n’au- nier qui travaillait pas très loin de rait pas fait mal, quelle soit toutes vint à son secours. Il fallut lever faites de même. Ensuite on ser la machine pour le sortir de là; Il! Prend aux registraires de ci de ça fut de suite transporté à l'hôpital, : qu’ils doivent pas les avoir deman- il est à l’université sous les soins | dées alors que c’est aux chefs qu'il du Dr Alexander. Son état est sa-|faut s’en prendre. Faudra-t-il tou- tisfaisant pour le temps. Nous lui!jours $e battre. On les donna à Qué- i bec parce que ils sont en maÿo-

souhaitons un prompt et complet ré- : tablissement. rité et qu’on ne veut pas leur dé- O4 : plaire, il semblerait qu'il n'y a qu'à Le jeune Armel Lambert est ve- | Québec qu’on trouve des canadiens-

français. On nous trouve bien pour les taxes ou toute autre chose mais pour nous donner justice on dirait

nu près de se crever un oeil, alors qu'il était à jouer. Il fut de suite transporté à l'hôpital il passal Ê k ; quelques jours. Il est maintenant : Al veulent nous faire bien sen- chez luiasèez bien: | tir qu’ils sont les gouverneurs LE + + pays et donneront ce qu'ils NORTON

Le jeune Killiam Demers ane Hs rame es Anne mA

Li qe À ‘raient pas remarquer ni trouver a à défaire de la clôture, lorsque la!

broche « risa J'atteignant dans! : $ Er oche e brisa tteignant da ! français, puisque c’est supposé être l'oeil et le crevant. 11 passa une cou-!

ple de semaines à l'hôpital et re-|

imais on semble bien vouloir nous

r i jeune homme qui restera ; die leur un si jeune h AS nee jeond plan et non avec égalité. Ce n'est pas tout, quand on est de passage, de dire quelques mots en

+ + *

; . [français et de vanter les canadiens | Le jeune John Oreschuck se bri-{ opfin de jeter de la poudre aux ||

sa un poignet en tombant de cheval. |, &4X 11 faut des gestes qui prouvent | |

I est à l'hôpital il se rétablit qu'on est bien sincère. assez bien. |

LAC FROID

+ + »

.Cornme l'on peut voir nous ve- nons de traverser une vague d'ac-

| à

Depuis. assez longtemps nous 2-

BREYNAT, EXCELLENT PAYS DE env à] | COLONISATION

organismes. Et cet élément, c’est la une des meilleures régions dur bassin de la Rivière-la- Paix |

mort n’est pas encore la maitresse de notre paroisse. Elle ‘frappa à tour de rôle jeunes et vieux, mais le bon Dieu

se et à la patrice. poisson sdvoureux. Le gibier, déliecl Dispensez-moi de du chasseur et met suceulent pour le colon abonde aux alentours: Nous y rencontrons lorignal, le chevreuil, ie caribou et plusieurs autres petits animaux. Les ansmaux à feurrures asondent aussi,

Les chemins toujours en Dernièrement, nons avons subi un bonne condition permettent aux cèl-! erand deuil paroissial. Mme Joseph tivateurs de sortir leurs produite à Déry, âgée de 72 ais est décédée bas prix et aux marchands de S’#p-| ;resque subitement à l'hôpital le 14 provisionner aisement. Deux ca-{,6üt. Des funérailles solennelles néons voyagent contixicilement en-| eurent lieu le 17. De nombreux pa- tre Breynat et Edmonton ainsi au’entre le Lac la Bicue et Srevnat.l Que toute la famille paroissiale. Ca district desservi par an systè-| Chacun tenait à manifester ses con-

la visite pastorale de notre vénéré archevêque qui administra la eon- firmation à cinquante et un de nos chers enfants.

k EX

assez |

me de malle une fois par semaine & | {ojéances à cette famille nombreuse

trois bureau de postes au servie Jeune des premières à s'implanter!

£ Ï Û ; CCE 2'Ü e dE la population. En cas SATRoNee Ton etes nous. Nos sympathies et nos: avons une nouveauté, “1 radio” Un! prières leur sont assurées. | :

+ * * à.

2 ; 5 | poste émetteur CH3N nous met en;

La Biche.Pour arranger les affaires! Dimanche le 19 août eut lieu no- il y a Juge de Paix et Commissaires | tre pique-nique annucl. Températu- à votre disposition. |re idéal, sports très intéressants et

Il est donc facile de conslater pari variés, repas succulents la truite ces avantages que le District d? ne manquait pas, tout semblait vou- Breynat ne le cède en rien aux au-|

: A i ÿ1 ser- mieux connus. Encore une fois nans | 2mMis artistes de Bonnyville nous ser

virent une intéressante soirée rérre- diens français désireux d’amélicrer ! leur sort car à part quelques terres encore à louer, il y a des terres à vendre à bas prix. Le Settlenient ! Syndicate Ltd. offre, par son siège | à. Edmonton et sen secrétariat

Breynat, des terres à paiement fa- cile, en partie par récoltes et sans

da faire les frais du chant et de !a musique.

.- Parmi les visiteurs distingués qui! rehaussèrent de leur présence notre

e Val-Marie, Sask. M. le vicaire: Ricard de Bonnyville, les RR. PP. Teston et Pelletier, O. M. I., de Le-

[off et le R. P. G. Tétreault, O. M.

| A tous nns sincères remert'e-| l

ments. |

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La Survivance

“cidérits dans' un temps si pressé ca |i

Bérubé sont Be

:. Mme Geo. Donahue est en visite ll

Leblane, Mme ‘Alex Vaugeois :

mont, visitant en même Lemips chez [Èf

i redire que le dos de la carte soit en à iles deux langues officielles du pays, |

| faire sentir que nous passons au se- ||

continue de créer Ici monde et nos chers fidèles donnent | £ encore beaucoup d'enfants à lEgli- ‘5

nombreux dé: |lR tails, qu'il me suffise de rappeler d k

rerits et amis étaient présents ainsi : |R

D. 1:

loir coopérer à rendre notre fête des || tres centres de colonisation dé;a | plus agréables. Le soir enfin, 4 : 0 |

ative. Mme Sabourin eut la bon‘ i}

à | fête, remarquons M. le curé Rorticr il

41, du Juniorat d'Edmonton. E.

THEOPHANE |} | (

largent comptant. Les jeunes famil- |}f [les sont spécialement invitées a ve-:}

joie s'établir ici. Une visite vous con- à

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suite de 11 page 1.

lombhie-Britannique et Cans l’est du Canada,

4. Que la Fu du Blé soit !

Æ | | |

priée de fournir des facilités raiso:- nahles dans les élévateurs de’enmpa- gne el dans !es terminaux pour le | mouvements des grains fourragers. 4. Que les chemins de fer soient | priés d'accordér des taux de ‘trans. | pert domestique fomnpora res pour la : Colorbie-Pritanniqne et l'Est, afin: d'encourager le movement de ces! grains, |

Garantie libre de toute

charge

Etant donné que les récoltes äe! beaucoup de eullivateurs sont. gri-i vées de réclamations léga'es, publ'-| ques et privées, et que d'autres eré- | anciers insistent pour se faire payer. ! la conférence a cherché le moyen äcl S'assurer que la garantie du gran sur Jeguel la banque posrrait avan. | cer soit libre de toute charge, au cas le prêteur aurait à vendre, Il fau. drait donc suspendre les réclama- tions légales déjà enregistrées, Or croit que le Dominion pourrait faire en vertu de la loi des mesures üe guerre, S'il était nécessaire, les Chambre provinciales de lOres- pourraient se réunir pour légiférer dans le sens indiqué par les auteri- tés fédérales.

La conférence a enfin recomman- déque les avances soient faites par les banques existantes et que lon applique aux prêts sur rains le prin- cipe déjà adopté pour la !oi de j'a mélioration des demeures.

Le problème de la récolte et Otiawa

Le comité des représentants agri- coles de l'Ouest ne s’est pas rendu à Ottawa, à cause de l’absence des principaux ministres qu'ils devaient voir; mais Îles propositions de la conférence de la semaine dernière ont été soumises, lundi, le 19 août dernier, à Fhon. J. G. Gardizer, mi- nistre de l'agriculture, et à l'hon. T. A. Crerar, ministre des mines et des ressourees.: Ils n'ont pu “e prorox-: cer au nom du gouvernement fédéral: et ont simplement promis de so:-i mettre les propositions le pis tôt possible; au cabinet d'Ottawa.

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Dans le courant le ia <e 7 | dernière, un beau ‘hi « été démné | Pise, Mile Marie Lamieux, Mlle Ber-| Mile Marie Kérôack à passé quel- | ‘au Macdonald pas les honsos A | radette Lemieux, Mile abric'Jaique temps à Bonnyville et St-Paul, | wies, en l'honneur de Mlle Geit ue | 1 Fervieux, Mlle Thérèse Vallée, Mlle dans les familles Vallée et Pitre. | Lril, plusieurs fois ler présidente. | Paulette Crévolin, Mle Gabrier:e .X S *

Vue à vol d'avion du fameux aércdrome de Croydon, un des plus beaux du monde et des mieux outillés, qui a été bombardé par les Alle- sainds jeudi au cours du premier raid de la guerre sur le Greater London. Les raiders ont endommagé un certain nombre d'immeubles, dont une usine de parfum, dans la banlieue, mais ils n’ont pas réussi à causer de ‘graves dommages à l'aérodrome. On continue aujour- d’'hui à déblayer les débris d'une maison au cas l’on y trouverait des victimes. On. nnonce officiellement que quatre DER OPReE ont été luées et que 90 autres personnes ont été blessées au cours du raid sur Sroydor Ù

DE

CARNET SOCIAL | Mlle Maryvonne Roy. est revenue Lt | de vacances chez sa tante, Mme N. |

É | Trudel, : ‘à St-Paul. ;

+ *.

PETAIN APPROUVE

one Hurtubise, Mlle Marguerite Tuitu-

ocre : | VICHY. (Fance) Le chef d'é é-. Nos félicitations à Mle ieetet Phillipe Pétain a décliré qu'il

Crévolin, nommée secrétaire de: il’Hon. Lucien Maynard, Ministre | des Affaires Municipales. se À

Mme J. A. Kéroack a en UT A GUARDIA MI.

Ta partie musicale fût exécutée par | Mercier, Mile Simone Barbeau, Ylle Mile Bérangère Mercic: et Mile Ma-:; Jeannette Langlois, Mlle Jacqueline dsnne Hurtubise tan &s que Mme R | Sylvestre, Mile Simone Baril, Mlle ouchard fit la prisentation un: | Françoise Sylvestre, Mile Germaine! jolie table à café. \ Quilichini, Mlle Charlotte Bernier,

; !Mlie Marie-Claire Barbeau, Mlle AI-

+ ds

Parmi les membres ct.

-entes on vit:

.Mlie Emma Tavgoon, MIE Juice Chatain, Mlle Simonne Bonin, Mlle, Lérangère Mercier, Milz Madonne :

Le | “World Tee- publie en première page ure : nouvelle, disant que les associés du, + *# x maire La Guardia, de. New-York, ont

M: et Mme P.. Æ. Poirier sont re-|déclaré privément que le maire serait venus de villégiature : à Alberta ! nommé secrétaire de la guerre des E-

amies pré- | berta Bernier, Mlle Luc:a Boucher, |sa soeur Mlle Antoinette Baril, et

{Mlle Jacqueline Gabrelle, Mlle Lau-| sa belle-soeur Mme J. A. Preno- NISTRE DE LA jra Martin, Mile Suzanne Dame, Mile | vault avec sa fille Mlle Annette, |!

: Thérèse Mercier, Mlle Thérèse .Ké- ‘toutes de St-Boniface, Man. l. =. GUERRE. 1roack, Mlle Claire Chatain, Mile] E & % .

‘Mlle Thérèse Sabourin, Mlle. Anna 1 L'Étan De de lie et vod

| Fillion, Mme A. Brisette, Mme ,C. 4 Ottawa, il a'pris part à la pre- NEW- YORK.

Brisette, Mme R. Bôuhard, Mme G. aire ses%ion dépuis sa:nomination | gram”

Baril, Mme P. Chätain. Sénat. :

| + % * L.

À la messe de 7.30 lundi. le 15

laoût le Rév. P. Boucher, O. M.

ac te L;| Beach. + tats-Unis, d'ici à. un: an, si ‘le prési- Rés ÉRRREERTERES icélebrait à l'église St-Joachim £l . dent-Roosevelt est élu pour une troi- 38e manage. de MIe"Gertrade ans M. et Mme Roméo “Bouchard ac-!sième durée d'office

M. Adrien Blais, fils de M. et he de Mine A: Giroux: Sel

JR Blais décédés. Toute la chorale. Lssés quelque temps: au Lac Pyra-| membre de la commission de. défense! | était présente, dirigée par M. GE-! mide et environs; dans le Parc Na-iconjointe .américano-canadienne est! !déon Pépin, avec Mme À. Brisette | {jonal de Jasper regardée comme: Je premier pas vers | et Mlle Gaby Hervieux, solistes. + + 2 isa nomination comme membre du ca-

: ERRETO ENT ETES TES TETE TE TETE TE

.|décadeé, elle,

Uie A ADon a le devoir de se prémunir contre ns ioe

“LA FRANCE RESTERA UNE DEMOCRATIE"

j'approuvait la décision que le peuple |

L_JOBIETS PERDUS

suite. de la. pagé :1 : : .Et cet esclavage matrimonial se continua ainsi pendant une laissant pleuvoir Îles ordres, lui se courbant.avec! isilence et résignation. : Pourtant un soir après 10 ans de fidélité exemplaire, dc: scumission héroique, cet hom- me s’oublia et se grisa d’un vin capiteux, qui fit jaillir.en lui la, scurce jusqu'ici tarie de. sa: ccmbativité ét son indépen- dance.

I partit d'un pas résolu vêrs sa demeure, prêt à affronter les ‘foudres vengeresses de sa fem- me et même le bombardement du rouleau à pâte. C'est ce qu'il tit, L’épouse s’étonna d’abord de cette résistance imprévue, pleu- ra ensuite, comme jamais au- garavant mais sans réussir à toucher ce coeur d'homme, qui semblait changé en pierre. Folle de colère, elle fit sa valise, ra- massa tout l’argent disponible

+

| MERCREDI, LE. 28 AOUT | 1940

AVIS AUX CREANCIERS

Succession de feu Napoléon Auclair de North Edmonton marchand

AVIS est par lés Pr ess donné que toutes personnes ayant des réclama- tions contre la succession du défunt Napoléon Auclair décédé le 17 juillet | 1940 sont tenues de fairé à Me Paul E. Poirier, (avocat de l'ekécutrice An- | toinette McAuliffe), Edifice Banque Royale, Edmonton Alberta, le avant le 16 octobre 1940, l'état complet et dûment vérifié de leurs réclamations 1 ét de toutes sûretés détenues bar elles let qu ‘après cette date l'exécutrice dis- tribueru les biens du défunt entre les ayants-dorits ne tenant compte que des réclamations ainsi présentées ou qui auront été portées à sn connais- ‘sance,

Edmonton, ce 22 août 1940

Paul E. Poirier,

avocat de l'exécutrice,

Etude Milner, Steer, Poirier, Martland et Bowker.

Edifice Banque Royale,

Edmonton, Alberta,

AVIS PUBLIC

Prenez avis que Napoléon Meunier

let le livret de banque et par titide Morinville, Alberta, a été nommé

Jrevit plus.

Après quelques jours le mari stoique téléphona au quotidien cette petite annonce classée, “pour mettre, comme il le di- sait, dans la colonne des objets perdus”: |

“Perdus une femme et un por- itefeuille. Prière de rapporter le| Iportefeuille et de garder lai

|femme en récompense”.

MAXENCE

VE VE LES ES ETATS-U, Ü

>

américain a prise de s’armer en vision des éventualités.

On lui demanda: ‘La France voit- elle d’un oeil sympathique les pré- [eautions que prennent ls nations a- méricaines de s’armer contre les é- ventualités ?”

pré-

| |

“Certainement, ‘répondit-il Une el ination doit pouvoir se défendre con- itre l'invasion et doit avoir les moy-

Lens de ce faire.’ Non seulement elle

a.le droit de sepréparer. mais.'elie en à le devoir.:“Elle doit étudier les! dangers possibles. Élle doit décider quels -préparatifs moraux. sont né- cessaires pour éloigner ce. danger: Les techniciens doïvent être respon- |sables des Besoins matériels. Mt

l .Le maréchal Pétain | a fait. ces: as: isertions au .cours ‘d'uñe conférence |&. également dit,-entre autres. :cho-. ‘ses: “Je ne critique point l’Angle- {terre. Je ne puis l'accuser. Toute na-: tion a le droit de se défendre. Je crois que la France a êté laissée seu-

en‘ claquant la porte. Il ne la Gardien de Fourrière pour la Ville de

Morinville, que la dite Fourrière est

située à sa résidence faisant partie

du NE. #4 de Sec. 33, Tp. 55 R, 25

Ouest 4e et que le bureau des Postes

est le lieu sont affichés les avis. Daté ce 17e jour d’août 1940.

J.-B. DALPHOND, Sec.-Trés.

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publiqué française existe encore. Aux journalistes qui lui’ demandent si la Frances ’achemine vers une dic- tature totalitaire, il cite en: exem- -ple la: ‘Suisse, “Là, dit-il vous ‘avez ‘dé la ‘liberté et, en même temps, de la discipline. Qui, nous Po, une

une génération‘ pour ‘réfaire Tédu- {cation dü. -beuple. Il répond: C'est peut-être vrai mais nous allons nous

; A list : | attaquer à à ce problème par les deux u’il a accordé: aux. journalis es. La nomination “au: maire. ne q j bouts, en France. Noûs, allons édu-

quér et les jeunes. et les vieux. Âu- près. des jeunes, eus pouvons user de persuasion. ‘Les vieux sont ‘en- clins à avoir la tête plus dure. Pour eux, nous aurons recours à la dis-

HOMARD 18 | 39 , JiLa réception eut lieu chez M. et] Mme Henderson et son fils Roy | binet, dit le journal. 23 LA BOÏTE 3 onces Gonces Mme J. Chatain, oncle et tante dei. t revenus de Jasper. : sn EPICES MELANGEES, pour. cornichons 28 la mariée. L'Hon. Lucien Maynarü |. Æ + % A Vraie Con Meter de nt , Gonna le discours de circonstance. M. Jéan-Baptiste Boulanger fils! Jean-Baptiste fera le tour de Ja! MOUTARDE “Blue Ribbon” en vrac 5 : Après un voyage à Jasper @|4y Dr et Mme J. Boulanger est | Gaspésie, en automobile, avec son! EN dE CR IN 3 C | Banff, les nouveaux mariés éta-! Darti jeudi dernier pour Montréal, | compagnon de classe M. Robert Pa-| + GRAINE BE MOUTARDE 5 | bliront en ville. | pour finir sa philosophie au Collège ger et ensuite reprendra la rédac- Ha MIVTE nine rmnli en A a dt rer eglo à 2 »* + * -| des Jésuites, Jean de Bréboeuf ne et publication de son journal À AINE Î | | . ue l’entrainement militaire avec lel “Le Petit Jour” en même temps que Fe Fe S ne A en TN M Ne A ms 25c Jedi ee RAR Po Canadian Officers Training Corps’. ‘La Survivance des Jeunes” sous un'

thier, O. M. I.,.a baptisé Jean £- idouard Léon Côté, fils de M. et Mme Jean Côté. Parrain et marraïi-

FRUITS À CONSERVES PECHES “Freestone” No 1 |

Da Caisses. ins en nr tn Rte à |ne: M. et Mme Paul Côté, onèle et PRUNEAUX de la Coiombie $1. 19 : tante du héhé. 3: CAISSES rm AE LE EE ddr dgd G

|

|

a chez ses parents, M. et Mmé! IC. E. Gariépy, M. Pierre Gariépy : est retourné à Jasper Lodge il: est employé pour les mois d'été. nr une © Ce

POUDRE AUX YEUX

Henry Wilson

Piace du Marche 19157-99e rue Tél 27219

Nous savons tous que nous sommmes dans une lutte sans merci. Les Of- ficiers du Cartel le savent-ils? Si les offiicers du Cartel le savent pourquoi essayent-ils de profiter de la guer re? Ce n’est pas le temps pour d’aussi abominabls tactiques.

x

Pourquoi donc faut-il mêler ia connaissance d'importantes décisions nationales avec la propagande du Cartel, telie que celle qui a pa- ru récemment sous les titres de “Humanity Has Struck Its Tents” et “Eternal Vigilance Xs The Price Of Liverty”?

Si les officiers désirent réellement donner aux membres du Cartel des informations satisfaisantes et croient que “l’éternelle vigilance est le prix de la-libeïté” nous leur suggérerons deux questions qui : se posent souvent. dans. l'esprit des ex-membres du Cartel.

Quand fere-t-on un paiement sur les $29,000, 000 qui ont été pris pour fins d’Élévateurs et de Réserves Commerciales?

Ces officiers réalisent-ils que pas même un pour cent d'intérêt a été payé sur cet argent pendant 10 longues années?

Nous pourrions poser beaucoup d’autres questions, mais nous sommes

-en guerre. ea AR AVE EVE ag SU A Lt

_ Line Elevators Association

Après avoir passé la fin de. se-|

| | | |

ur Ï Canada et suggérerait. que. Amérique doit se désintéresser de! su | l'Europe: et de:l’Afrique:

‘]le trop tôt pour faire. la guerre -Mais je ne veux pas m’adonner au | ressentiment.”

Le maréchal US que la Ré-

cipline, et, dans certains ces, à une discipline rigoureuse.” Le maréchal lui-même est âgé de 84 ans. Il sém- ble en excellente santé.

[EE

Avant de reprendre ses cours'nouveau format.

| WEYGAND A DÉCIDE DE RAJEU- NIR SON ARMEE

Vendredi!

Î

Durant Le dernietrs mois combien de sortes de poisson 1180 officiers supérieurs ce larniee dhane ont été: é An ou six? comment, d : ans ce cas, vous manquez une mis : leur L aréchal Pétain atteint l'âge de 62. il bonne et saine nourriture! Chez EATON nous avons un ans ixé: Lee e ma , Choix imemnse—plus de quarante différentes sortes-—frais, = . gelés, salé, fumé, épicé. Certaines variétés viennent des Océans Atlantiqué et Pacifique et de lacs aux eaux frai- ches. De plus, le seul fait qu'ils sont vendus par EATON si- gnifie qu'ils sont‘ vendus dans les conditions les plus sani- taires possibles ces comptoir smodernes sont aussi froids

et aussi propres qu'ils en ont l'air! Comptoir an Poisson, sous-sol

Vichy Rtouement tous de frique.

officiers supérieurs. de. l'armée quil Prioux est le héros des opérations | étaient en service actif lors de l'in- d’ arrière-garde que ont couvert la! ,vasion de la France ont été mis à! retraite des alliés vers Dunkerque {leur retraite par un décret du mi-|où le général fut fait prisonnier Lristre de la Défense nationale, Ma- Î dans- un tank au moment ses det- ixime Weygand. Ces officiers, au\nières unités motorisées essayaent ;nombre de 180, ont atteint la nou- | de: garder un dernier passage pour elle limite d’âge de 62 ans fixée par permettre aux dernie ; hor ane da ile maréchal Pétain, chef de l'Etat. retirer. |

à: |

| | | le

VIANDES et POISSONS

Aubaines pour vendredi.

Livre 13c Livre 160

ÊTEAK ALOYAU . . Livre 15c PATTES de MOUTON, éntières ‘ou demies Lb. 14c Lee de VEAU, ee Livre: 9e Livre lice. | du À livres 25c EPAULES de PORC, style Pienic Livre 17c COTTAGE ROLL, tranché... Livre 27e :-JAMBON BOUILLI. tranché . Livre 40c. FOIE en pain, tranché . Livre 25c :SAUMON. PODOEe Livre 19c " FLETAN, moyen . Livre 20c-

1 5f

i Il !

-

Parmi les officiers mis à leur re- : Parmi les officiers mis à leur re- traite, il y a les généraux Prioux et? traite, il y a 21 généraux coloniaux, | ‘Blanchard ainsi que sept autres gé-| y compris les cornmandants’ de deux! néraux de l'armée du nord qui fut! | corps : d’armée coloniaux. ‘la première à rencontrer la ublitz | #

grieg” allemande; le: général DE Ce: décret: a pour objet de facili-|

.BUES; général résident au.Maroc; le!ter la promotion. de.plus jeunes of-:

! général Welis, commandant des-for-|ficiers et de rajeunir la: ‘structure | ces françaises déni le” nord de militaire de Su France. En Fe PROPACANDE ALLEMANDE AUX ETATS-UNIS |

l

LONDRES. Le correspondant. diplomatique du “Standard”, |journal de lord -Beaverbrook, affirme que l'Allemagne ‘s'apprête! à lancer une vaste campagne de propagande aux. Etats-Unis afin de. briser-la résistance äanglo- américaine: ‘au nazisme et dé-; |tacher les: Etats- Unis._de’ l'Angleterre. La propagande allémande! | : préconiserait “Union ‘de- l'Amérique du Nord” y compris

torse ie nesn sos en ere se ssssere n

Le: correspondant ‘affirme que l'ennemi éoribte ‘encore län-! -cer‘un. mouvement du “Canada aux nan de pou ramener lei